J'ai compris que, pour réussir, il ne faut pas éliminer de s on esprit l'existence de la Bête. Au contraire, il faut se mesurer à elle, l'affronter chaque jour, de face.
Tu ne pourras jamais te débarrasser de ta peur. Ce que tu peux, c'est l'apprivoiser.
Lire, c'est comme vivre en deux endroits à la fois. Vu de l'extérieur, le lecteur se situe au même emplacement que son corps, mais son esprit se trouve en voyage, très loin. Comme si deux personnes existaient en lui.
jamais, je n’aurais imaginé devenir le fantôme d’un être encore vivant
Pourquoi penser à l'échec ? Tu vois, moi, j'ai l'impression que penser positif efface le négatif. Ça veut pas dire que je suis naïf, mais ça m'aide à avancer.
Un texto, c'est moins accaparant qu'un coup de fil : si on ne l'entend pas, on peut toujours y répondre plus tard.
Lire, c'est comme vivre en deux endroits à la fois. Vu de l'extérieur, le lecteur se situe au même emplacement que son corps, mais son esprit se trouve en voyage, très loin. Comme si deux personnes existaient en lui.
La "natation"... Le fait de nager, quoi. En été, dans les calanques, on disait la "mer" ; le restant de l'année, à la piscine, ça s'appelait la "natation".
Alicia a toujours privilégié la lecture plaisir. Pour elle, ce qu'on nous impose de lire au lycée se trouve inévitablement défavorisé par rapport à ses lectures personnelles, comme si en obtenant l'aval de l'Éducation nationale un livre perdait de sa puissance. J'ai essayé de lui dire qu e les romans, ça existe d'abord "dans la nature", et que ça intègre ensuite (ou pas) les programmes scolaires. Peine perdue.