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Critique de Latulu
Prix Hugo meilleur roman 2009 et Prix locus 2009
A l'age de deux ans, un bébé échappe de justesse à l'assassin qui vient de décimer sa famille. Il trouve refuge dans un cimetière.
Conte macabre à la mode de Tim Burton, ce récit a su me séduire par sa poésie et son humour noir.
A peine arrivé dans le cimetière, le petit homme se voit baptisé Nobody par les habitants du cimetière : des fantômes. Adoubé par ces derniers et donc protégé dès lors qu'il reste au sein du cimetière, Nobody va grandir auprès d'un couple, les Owens. décédés depuis 250 ans.
Silas, vampire et tuteur autoproclamé, veillera sur lui avec une étrange affection.
De sa jeunesse et adolescence, Nobody conservera le souvenir d'une éducation libre. Il rencontrera de multiples créatures : vouivre, loup-garous, goules et sorcières avec lesquelles il aura des échanges plus ou moins amicaux.
J'ai aimé cette histoire où les décors gothiques renforcent la dimension fantastique du récit. Nobody est un petit garçon attachant. Seul humain au milieu de créatures surnaturelles, il évolue dans une solitude qu'il arrive à tromper grâce à une grande imagination. La réalité le rattrapera lorsque l'assassin de ses parents finira par le retrouver. le récit gagne alors en rythme et les actions s'enchaînent. J'ai aimé la fin réservée aux meurtriers.
Neil Gaiman s'illustre en poète du macabre. Un conte initiatique à destination des adolescents.
A l'age de deux ans, un bébé échappe de justesse à l'assassin qui vient de décimer sa famille. Il trouve refuge dans un cimetière.
Conte macabre à la mode de Tim Burton, ce récit a su me séduire par sa poésie et son humour noir.
A peine arrivé dans le cimetière, le petit homme se voit baptisé Nobody par les habitants du cimetière : des fantômes. Adoubé par ces derniers et donc protégé dès lors qu'il reste au sein du cimetière, Nobody va grandir auprès d'un couple, les Owens. décédés depuis 250 ans.
Silas, vampire et tuteur autoproclamé, veillera sur lui avec une étrange affection.
De sa jeunesse et adolescence, Nobody conservera le souvenir d'une éducation libre. Il rencontrera de multiples créatures : vouivre, loup-garous, goules et sorcières avec lesquelles il aura des échanges plus ou moins amicaux.
J'ai aimé cette histoire où les décors gothiques renforcent la dimension fantastique du récit. Nobody est un petit garçon attachant. Seul humain au milieu de créatures surnaturelles, il évolue dans une solitude qu'il arrive à tromper grâce à une grande imagination. La réalité le rattrapera lorsque l'assassin de ses parents finira par le retrouver. le récit gagne alors en rythme et les actions s'enchaînent. J'ai aimé la fin réservée aux meurtriers.
Neil Gaiman s'illustre en poète du macabre. Un conte initiatique à destination des adolescents.
