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Critique de ramsesgribou


Une rencontre avec l'auteur dans une médiathèque locale, une première lecture avec le célèbre Les déferlantes et me voici dans mon univers préféré : Venise. J'aurais volontiers squeezé l'histoire d'amour mais que serait cette ville sans amour... L'auteur, le personnage ou les deux louent une chambre dans une pension du Castello, quartier à l'est de Venise. Là où je descends quand je m'y rends. J'évoque quelques souvenirs avec Claudie Gallay sur le quartier que nous faisons revivre quelques instants. La forme est étrange pur ce roman. Des courts chapitres et des retours à la ligne constants. C'est du moins l'impression qu'il m'en reste. Avec aussi des personnages hauts en couleur, comme un véritable prince russe, une danseuse qui ne sait pas ce qu'elle aime le plus, la danse ou son homme. Un libraire mystérieux. Il revient beaucoup de choses en mémoire et je me voyais déambuler dans les calle, comme j'aime à le faire ... Encore une fois dommage d'avoir pimenté le tout avec une histoire d'amour ratée et une autre qui commence. A Venise, l'histoire d'amour a lieu avec la ville d'abord.
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