AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Une enquête du commissaire Espinosa : Bon anniversaire,.. (47)

-La police a besoin de suspects pour pouvoir les transformer en coupables.
-C’est l’église qui aime bien les coupables. La police cherche les criminels.






Commenter  J’apprécie          170
L’impression que j’ai, c’est que pour Gabriel cet assassinat est déjà commis, il faut seulement attendre que l’heure sonne.
Commenter  J’apprécie          70
Vous m’avez harcelé pendant une semaine pour ça ? Vous voulez que j’enquête sur le meurtre d’une personne que vous ne connaissez pas et qui n’est même pas morte ? C’est une plaisanterie ?
Commenter  J’apprécie          60
L’impression que j’ai, c’est que pour Gabriel cet assassinat est déjà commis, il faut seulement attendre que l’heure sonne
Commenter  J’apprécie          40
A quatre heures de l'après-midi, le petit restaurant était vide. L'unique serveur, à une table du fond, se partageait entre une pile d'assiettes devant lui et le poste de télévision dans un angle de la salle. Les yeux fixés sur l'écran, il prenait une assiette, y vaporisait de l'alcool, l'essuyait, et formait une autre pile à côté de la première. Il exécutait cette tâche sans se presser, au rythme du film. Sa besogne terminée, il sépara les assiettes en deux piles rigoureusement égales et dut détacher les yeux de l'écran à ce moment. Il passa alors aux couverts. Il les prenait dans un bac en plastique situé à sa gauche, y vaporisait de l'alcool et après les avoir essuyés méticuleusement, les jetait dans une boite sur sa droite. Ce travail était plus difficile à concilier avec la télévision parce que la boite était divisée en compartiments pour couteaux, fourchettes et cuillères, et il était presque impossible d'atteindre le bon compartiment sans regarder.
Commenter  J’apprécie          30
Et il n’y avait rien dans l’histoire personnelle d’Olga qui suggérait la possibilité d’un suicide, hormis, évidemment, le fait qu’elle était vivante.

(Actes noirs, p.144)
Commenter  J’apprécie          30
la vie est trop courte ou trop longue pour se permettre le luxe de la vivre n, importe comment.
Commenter  J’apprécie          30
La différence entre les fous et lui était qu’il savait que la menace, dans son cas, n’était pas imaginaire. Il ne confondait pas des scènes du quotidien avec des délires. Il savait parfaitement ce qui était réel et ce qui était imaginaire. Ses délires relatifs à la prophétie étaient sincères, et c’était ça qui l’avait conduit à contacter le commissaire ; non une donnée objective, mais une impression subjective concrète. Il n’était pas fou, de cela il était sûr ; du moins pas plus que la majorité de ceux qui l’entouraient. Il éprouvait certaines difficultés, c’est vrai, mais rien qui le situât au-delà de la limite de la santé mentale.
Commenter  J’apprécie          20
La seule raison pour que quelqu’un soit terrorisé par une prophétie de bazar, c’est qu’elle soit vraie.
Commenter  J’apprécie          10
La police a besoin de suspects pour pouvoir les transformer en coupables.
Commenter  J’apprécie          10






    Lecteurs (95) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Les classiques de la littérature sud-américaine

    Quel est l'écrivain colombien associé au "réalisme magique"

    Gabriel Garcia Marquez
    Luis Sepulveda
    Alvaro Mutis
    Santiago Gamboa

    10 questions
    371 lecteurs ont répondu
    Thèmes : littérature sud-américaine , latino-américain , amérique du sudCréer un quiz sur ce livre

    {* *}