Voilà bien
Jérôme Garcin et sa manière de rendre hommage, plus même que rendre hommage, faire continuer à vivre.
Il s'agit ici de son ami
François-Régis Bastide qu'il célèbre, dix ans après sa mort.
Ami écrivain, musicien, ambassadeur, créateur avec
Michel Polac du « Masque et la plume » qu'il anima de nombreuses années avant que ne le fasse
Jérôme Garcin.
On sent toute la tendresse qu'il lui portait. Toute l'émotion qui l'habite encore en parlant de lui.
Les hommes tombent dans l'oubli après leur mort.
Par ce livre, il permet qu'on se souvienne encore de lui, et, comme à son habitude, il fait cela avec un grand tact, une belle plume, et réussit son pari
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