La "langue de bois" Jacques Gaucheron commence par la titiller, puis il l'étire dans tous les sens, la met à plat, la prend à revers, la râpe comme la pulpe des choses. Le lecteur, jeune et moins jeune, est pris au jeu, il rit et comprend en riant qu'il peut et doit accéder à l'esprit critique qui fonde le langage vrai et permet d'apercevoir le monde tel qu'il est avec ses menaces et ses promesses (Marc Soriano)