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Critique de tristantristan


Laurent Gaudé retrouve avec bonheur le souffle épique et fabuleux de" El dorado". Sauf que dans ce précédent ouvrage, la force du souffle tenait à la dimension humaine de l'individu en tant que tel et non pas comme dans "Danser les ombres" à la dimension de l'humain enferré dans des relations avec d'autres hommes (couples hommes/femmes) à répétition.
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