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Critique de barjabulette
Je pense, décidément, avoir un problème relationnel avec cet auteur.
Après avoir tenté Atlantis et l'avoir abandonné après une centaine de pages, je me suis laissée tenter par "Tigres de Guerre".
Il faut toujours bien un flop lecture durant l'année... Voici donc mon flop.
Je pourrais comparer ce roman de David Gibbins au monoxyde de carbone : Incolore, inodore et insipide. Tant les personnages que l'aménagement du suspens.
Au niveau des personnages, nous rencontrons une équipe diverse et variée d'un organisme qui s'appelle l'UMI. le personnage principal est Jack Howard, archéologue mais qui semble disposer d'un budget de recherche qui doit friser les dépenses annuelles de la NASA;
Ce "héros" découvre qu'il a une fille, une gamine de 16 ans qui vient de perdre sa maman, et qui doit être HP car en quelques lignes elle fait au moins 3 découvertes archéologiques qui vont révolutionner L Histoire humaine.
L'histoire... Parlons-en : C'est, je trouve, le seul point un peu intéressant du roman. le souci, c'est que c'est trop. L'auteur commence par nous parler de la légion perdue de Crassus. Et rien que sur ce thème, il y a matière à écrire un roman. Mais il ne s'arrête pas là, il mêle l'Inde, le premier empereur chinois, l'histoire de l'Afghanistan et que sais-je encore.
Après 100 pages, je n'avais toujours pas accroché.
Mais j'ai tenu jusqu'au bout.
Et là, j'ai découvert une partie (les 15 dernières pages) qui me semblait intéressante : le "Vrai/faux" de l'auteur.
Et paf. C'est là qu'il m'achève en expliquant point par point l'intrigue de son roman, en dévoilant ce qui est vrai de ce qui ne l'est pas. Et on se rend compte qu'une grosse partie de ce qu'il raconte n'est pas historiquement vérifié.
C'est l'embardée.
Le moment où on se dit.... Tout ça pour ça.
Je ne doute pas que David Gibbins peut séduire des lecteurs mais moi, vraiment, c'est pas possible.
Après avoir tenté Atlantis et l'avoir abandonné après une centaine de pages, je me suis laissée tenter par "Tigres de Guerre".
Il faut toujours bien un flop lecture durant l'année... Voici donc mon flop.
Je pourrais comparer ce roman de David Gibbins au monoxyde de carbone : Incolore, inodore et insipide. Tant les personnages que l'aménagement du suspens.
Au niveau des personnages, nous rencontrons une équipe diverse et variée d'un organisme qui s'appelle l'UMI. le personnage principal est Jack Howard, archéologue mais qui semble disposer d'un budget de recherche qui doit friser les dépenses annuelles de la NASA;
Ce "héros" découvre qu'il a une fille, une gamine de 16 ans qui vient de perdre sa maman, et qui doit être HP car en quelques lignes elle fait au moins 3 découvertes archéologiques qui vont révolutionner L Histoire humaine.
L'histoire... Parlons-en : C'est, je trouve, le seul point un peu intéressant du roman. le souci, c'est que c'est trop. L'auteur commence par nous parler de la légion perdue de Crassus. Et rien que sur ce thème, il y a matière à écrire un roman. Mais il ne s'arrête pas là, il mêle l'Inde, le premier empereur chinois, l'histoire de l'Afghanistan et que sais-je encore.
Après 100 pages, je n'avais toujours pas accroché.
Mais j'ai tenu jusqu'au bout.
Et là, j'ai découvert une partie (les 15 dernières pages) qui me semblait intéressante : le "Vrai/faux" de l'auteur.
Et paf. C'est là qu'il m'achève en expliquant point par point l'intrigue de son roman, en dévoilant ce qui est vrai de ce qui ne l'est pas. Et on se rend compte qu'une grosse partie de ce qu'il raconte n'est pas historiquement vérifié.
C'est l'embardée.
Le moment où on se dit.... Tout ça pour ça.
Je ne doute pas que David Gibbins peut séduire des lecteurs mais moi, vraiment, c'est pas possible.
