Il suffit d'un mot de trop, ou pire un mot non-dit, pour atteindre un point de non-retour. Je n'aimais plus Juliette.
C'est ton petit couloir de Dantzig, quoi ! Hitler réclamait un accès à la mer, et toi l'accès au père.
Allez, sors la fine du buffet, une nouvelle à la con comme ça, ça s’arrose !
Dans la nuit, on devinait les grappes d’hommes affalés, épuisés… une belle défaite échouée sur le sable… d’ordinaire, c’est la mer qui dépose les restes des naufragés, cette fois c’est la terre qui recrachait le désastre d’une France qui avait sombré…
Il disposait d’un carburant sans faille pour alimenter l’effort, distillé par une seule obsession : ne pas décevoir son père.
Existe-t-il une ambassade de l'enfer au paradis ? Allez savoir. Sur terre, dans la quiétude rayonnante de Collioure, ça ne fait pas de doute. La citadelle en offrait une version laïque tout à fait convaincante.
La République française n'avait pas cru bon d'attendre la fin de la guerre pour reconnaître l'Espagne de Franco.
Nous avons vu nos désillusions cul sec... Avec une tournée supplémentaire pour les communistes : le pacte germano-soviétique.