Chaque fois qu’on fréquente un homme, il y a deux forces qui s’affrontent dans notre tête. L’ego et l’amour. Tu peux écouter l’un ou l’autre, mais pas les deux en même temps.
L’Amour a ses raisons que la Raison ne connaît pas.
Il n’y a pas deux vitesses pour aimer. L’amour, le vrai, il vient d’un coup ou il ne vient pas du tout.
Il y avait deux façons de vivre sa vie. Soit on se fixe un point à l’horizon et on suit cette direction coûte que coûte. Soit on prête attention à ce que la Providence place sur notre route et on fait nos choix au gré des opportunités. De toute façon, tous les chemins ont la même destination : la mort.
Le désir, c’est la vie. Le jour où le désir meurt pour de bon, il faut s’attendre à se retrouver six pieds sous terre avant pas long.
Les habitudes qu’on prend au fil des ans sont parfois difficiles à modifier.
C’est un amour gratuit qu’elle lui offre. Un amour qui n’exige rien. Pas de sacrifice, pas d’adaptation, pas de compromis. S’ils vivaient ensemble, comme tout le monde, ils nourriraient des attentes l’un envers l’autre, des attentes qui seraient inévitablement déçues.
On peut ignorer un désir dérangeant, on peut s’occuper pour qu’il ne surgisse pas, on peut mettre des œillères, rester dans des ornières où l’on se croit à l’abri. Mais on n’est jamais à l’abri que des autres. On ne peut rien contre soi-même.
Embrasser, c’est naturel pour l’être humain. C’est s’en priver qui ne l’est pas.
Les hommes, en général, sont programmés pour prendre soin d’une famille.