AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,72

sur 335 notes
Quelle déception ! Ayant lu FAUST et les souffrances du jeune Werther, que j'ai beaucoup aimés, j'avais hâte de lire un nouveau roman de Goethe. Mais avant il y a une préface et malheur m'en a pris de la lire : elle dévoile tout de l'intrigue et des rebondissements !
En plus j'ai eu du mal à le lire car il y a une exacerbation de la perfection du paysage, des sentiments, de certains personnages et cela était assez énervant. Il s'agit pourtant du même traducteur que pour « «Les souffrances du jeune Werther » que j'avais apprécié, il est vrai, à la seconde lecture.

Et que dire des renvoies aux notes qui dévoilent également ce qui va venir dans les pages suivantes ou pour donner une explication totalement inutile (ici le problème relève plus de l'édition que j'ai acheté que de l'oeuvre en elle-même).
Commenter  J’apprécie          30
D'emblée, frappé par l'élégance et la richesse du style, je me suis dit que ce n'est pas pour rien que ce roman au si beau titre fait partie des classiques qu'il faut avoir lu. Après de vifs plaisirs provoqués, notamment, par la description ébouriffante de l'irruption de Lucienne dans une société alanguie, avec son cortège de courtisans et de distractions plus farfelues les unes que les autres, l'issue tragique réservée à deux protagonistes de ce quadrille amoureux m'est apparue interminable et, pardonnez cette audace, insupportable de mièvrerie. Au final, avis mitigé.
Commenter  J’apprécie          20
Honnêtement j'ai plutôt bien aimé enfin surtout j'en arrive à un stade de lecture de Goethe je pense que le type avait un souci avec le suicide mais j'adore ce trope donc j'adore la manière dont Goethe amène ça me plait beaucoup. Et la théorie des affinités électives et des amants attirés comme des aimants qui détruisent tout ce qui les entoure quel beau trope
Commenter  J’apprécie          20

Un professeur de littérature allemande de l'École Normale Supérieure, chez qui je travaillais à l'époque, m'a offert ce livre dans les années 90. Il m'en était resté un bon souvenir…

"Rien n'est plus grave, en toute conjoncture, que l'intervention d'un tiers. J'ai vu des amis, des frères, des amants, des époux, dont les rapports ont été modifiés du tout au tout, par l'entrée en scène fortuite ou volontaire d'un intrus." (30)

Il se trouve aujourd'hui que ce même type de situation m'a happée dans ses filets. Voilà que je me retrouve aux prises avec une "intruse" en mon domicile, témoin incongru et permanent qui déséquilibre involontairement toutes les balances. Et ce d'autant plus je suis loin de vivre dans un château comme Charlotte et Edouard… Tenter de me lier à nouveau avec ces affinités électives ne m'a apporté aucune mélodie intérieure pour retrouver une harmonie. Pour tout dire, ces aristocrates qui s'appliquent à mettre le monde en forme – paysans compris – m'ont profondément ennuyée. J'ai très vite renoncé à ces retrouvailles.

Lien : http://versautrechose.fr/blo..
Commenter  J’apprécie          20
Je connaissais déjà Goethe car j'ai eu le plaisir de lire Faust il y a deux ans. Les affinités électives est une oeuvre totalement différente. Lorsque j'ai commencé ma lecture, j'ai eu l'impression de me plonger dans un roman de Jane Austen par son côté huis clos amoureux et ses chassé-croisé. Mais cette impression s'est vite dissipée à la lecture des considérations morales ou philosophiques des différents personnages (discussions autour des sciences, de l'Homme, de l'amour…).
Même si je n'ai lu que la traduction et que le texte original est sans aucun doute meilleur, j'ai beaucoup apprécié l'écriture plutôt poétique, les phrases harmonieuses et travaillées.
Dans la deuxième partie, j'ai moins aimé les pages, trop nombreuses à mon goût du « journal d'Odile », qui provoquent une rupture dans le récit.
Lien : http://metamorphoses-de-psyc..
Commenter  J’apprécie          20
Un beau roman romantique, même au comble du romantisme. Ce n'est pas mal écrit mais ça n'a aucun intérêt...
Commenter  J’apprécie          10
Un des livres ésotériques les plus connus de Goethe, aux sens multiples, de l'avanture amoureuse à la description d'une expérience alchimique. Magistral!
Commenter  J’apprécie          10
Ah je vous entends déjà ! Goethe, c'est compliqué, c'est ennuyeux, c'est démodé ! Si si, ne niez pas, on me le dit souvent. Je l'ai même cru moi-même avant d'être contrainte d'en lire, un soir de grande détresse parmi celles que je crains le plus : je n'avais plus qu'un seul livre non lu dans la maison, et c'était Les Souffrances du jeune Werther. Or, mon cerveau est ainsi accoutumé que ne pas lire revient à ne pas dormir. Mais il arrive aussi que l'inverse soit vrai : lire revient à oublier de dormir. Cela n'arrive qu'avec les très grandes oeuvres. Et c'est ce qu'il advint avec cet ouvrage de l'illustre auteur allemand.

La suite sur mon blog :
Lien : https://tagrawlaineqqiqi.wor..
Commenter  J’apprécie          10
Un roman écrit en 1809 qui offre peu de dialogues, mais où les passions et les émotions, toujours présentes, sont parfois contrôlées, parfois consommées.
Des relations interpersonnelles qui se calquent sur les éléments de la nature, qui s'attirent ou se repoussent, qui parfois ont des affinités ou qui n'en ont pas du tout.
Commenter  J’apprécie          10
Un roman sur l'ennui très ennuyeux !
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (1401) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz: l'Allemagne et la Littérature

Les deux frères Jacob et Whilhelm sont les auteurs de contes célèbres, quel est leur nom ?

Hoffmann
Gordon
Grimm
Marx

10 questions
416 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature allemande , guerre mondiale , allemagneCréer un quiz sur ce livre

{* *}