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Critique de LeScribouillard
Eh bien, c'est du bon boulot.
On a tendance à reléguer Goodkind dans les auteurs high fantasy de seconde zone quand on ne fait pas partie de sa secte d'admirateurs, mais il faut savoir que si je ne sais rien de la qualité de son cycle "L'Épée de vérité" (que je n'ai âââbsolument aucune envie de lire), il faut bien dire que contrairement à ce qu'à tendance à faire penser Elbakin, le bonhomme est capable de réflexion. Son personnage Zedd en est la preuve, avec ses interrogations auxquelles la plupart des gens ne se poseraient jamais. Alors évidemment, ça ne concerne pas le fil rouge de l'intrigue, mais même pour ça, cette novella est honnête et n'a franchement pas grand-chose à se reprocher. Un magicbuilding ni trop complexe ni trop vague (du moins pour ce format), une histoire crédible et le tout bien illustré. Alors évidemment, c'est du med-fan à l'ancienne, et après ? Ça ne me pose pas de grand problème, surtout si le souffle y est, que ce soit dans les descriptions ou les consonances des lieux qui évoquent un monde bien plus vaste que ce qui nous est montré.
Après, évidemment, ça n'en fait pas non plus un texte inoubliable. La plupart des personnages sont simples, l'intrigue l'est aussi, bref seul Zedd vaut vraiment le détour. Mais le final où il déclenche ses pouvoirs est tout de même quelque chose en terme de retournement de situation et de grand spectacle. Bref, une lecture vraiment agréable, à recommander à tous ceux qui comme moi n'ont pas envie de se taper les 15 tomes de 400-800 pages de la série-mère.
On a tendance à reléguer Goodkind dans les auteurs high fantasy de seconde zone quand on ne fait pas partie de sa secte d'admirateurs, mais il faut savoir que si je ne sais rien de la qualité de son cycle "L'Épée de vérité" (que je n'ai âââbsolument aucune envie de lire), il faut bien dire que contrairement à ce qu'à tendance à faire penser Elbakin, le bonhomme est capable de réflexion. Son personnage Zedd en est la preuve, avec ses interrogations auxquelles la plupart des gens ne se poseraient jamais. Alors évidemment, ça ne concerne pas le fil rouge de l'intrigue, mais même pour ça, cette novella est honnête et n'a franchement pas grand-chose à se reprocher. Un magicbuilding ni trop complexe ni trop vague (du moins pour ce format), une histoire crédible et le tout bien illustré. Alors évidemment, c'est du med-fan à l'ancienne, et après ? Ça ne me pose pas de grand problème, surtout si le souffle y est, que ce soit dans les descriptions ou les consonances des lieux qui évoquent un monde bien plus vaste que ce qui nous est montré.
Après, évidemment, ça n'en fait pas non plus un texte inoubliable. La plupart des personnages sont simples, l'intrigue l'est aussi, bref seul Zedd vaut vraiment le détour. Mais le final où il déclenche ses pouvoirs est tout de même quelque chose en terme de retournement de situation et de grand spectacle. Bref, une lecture vraiment agréable, à recommander à tous ceux qui comme moi n'ont pas envie de se taper les 15 tomes de 400-800 pages de la série-mère.
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