On peut voyager dans le monde entier grâce aux livres.
Elle et ma mère avaient l'habitude de regarder Inspecteur Barnaby ensemble ; Peggy devinait toujours le coupable avant la la première coupure publicitaire."
La mère de Harbinder aussi regarde Inspecteur Barnaby. Mais pour les " jolies maisons anciennes". Elle n'a pas l'air de remarquer qu'il y a des cadavres dans la plupart d'entre elles.
Mais il se rappelle avoir lu que J.D. partageait son temps entre la Toscane et Brighton. (...)
" J'ai une fois raconté à mon éditeur que je partais en vacances en Toscane et c'est devenu " elle partage son temps". La plupart du temps, je partage mon temps entre le canapé et le frigo.
- Je vais me débarrasser de tous ces bouquins, dit Nigel. Pourquoi est-ce qu’elle lisait tous ces polars ? Je veux dire, elle était intelligente.
— Les gens intelligents ne lisent pas de policiers d’après vous ? »
La table basse du bureau de Jelli Walker -Thompson est même constituée entiérement de livres.
- C'est ma PAL, explique-t-elle.
- PAL ?
- Pile à lire. Si jamais je suis assassinée, ma PAL sera l'arme du crime.
Edwin voit parfois des hommes se tenir la main en se promenant sur le front de mer, une vision qui ne manque jamais de le réjouir ; et aussi de le rendre un peu triste pour le jeune homme qu'il a été et qui n'a jamais pu savourer ce plaisir simple. Mais il sait que l'homophobie existe toujours.(...). Il y a encore beaucoup de chemin à faire.
L'édition ressemble à ça parfois. De gros poissons qui en mangent des plus petits, mais qui finissent avalés par une baleine."
— Les gens disent qu’on l’a tué. C’est vrai ?
— Les circonstances sont suspectes. C’est tout ce que nous pouvons dire », répond Harbinder.
Elle pense surtout qu’une balle dans la tête, ce serait suspect dans n’importe quel livre
Elle se replonge dans son poulet au beurre et, Dieu merci, les deux invitées comprennent le message et partent. Harbinder ne sait pas pourquoi son père les raccompagne en voiture. Elle devraient pouvoir rentrer en volant sur leur balai.
La table basse du bureau de Jelli Walker-Thompson est même constituée entièrement de livres.
« C’est ma PAL, explique-t-elle.
— PAL ?
— Pile à lire. Si jamais je suis assassinée, ma PAL sera l’arme du crime. Pardon, c’est de très mauvais goût. Les mauvaises nouvelles me font parfois cet effet -là. »