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4,12

sur 2035 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
On finit par se lasser de toutes ces vies répétées.

Le résumé promet de la sf et pourtant, l'histoire raconte simplement des histoires d'amour ou tout à fait banales, sans le moindre fait étrange, si ce n'est cette répétition. Rien n'est expliqué, on ne sait pas d'où viennent ces replays, et ils n'apportent pas grand chose finalement...

Le premier tiers est intéressant, nouveau, et puis tout se ralentit.
Tout ce qu'il faut en retenir, c'est qu'il faut apprendre à vivre le moment présent et ne pas gâcher sa vie avec des choses futiles.
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Un homme de 43 ans, le narrateur, meurt d'une crise cardiaque le 18 octobre 1988.
Il reprend conscience à l'âge de 18 ans dans son propre corps adolescent et avec ses souvenirs intacts.
Et cela recommence sans fin. Il rencontrera Pamela, victime du même style de replay.

J'ai lu ce livre après avoir lu les critiques qui parlait de Replay du roman Les quinze premières vies d'Harry August de Catherine Webb, livre que j'avais apprécié.
Amateur de science fiction et en particulier du voyage dans le temps, ce livre a donc rejoint ma bibliothèque.
Mal m'en a pris. Ici, pas de science fiction : pas d'explications données sur les raisons de cette boucle temporel, mais un roman sur la crise de la quarantaine et la recherche de l'âme soeur.
Que fait le narrateur lors de ses premiers replay ? La recherche de la fortune, les femmes, le sexe (sans toutefois heurter la sensibilité) et une fois tenté brièvement de changer le monde !
Le style de l'écriture est très simple, beaucoup de dialogues, des descriptions pour nous faire revivre les années 70-80 qui arrivent brutalement, comme si l'auteur recrachai simplement ces recherches documentaires. Comme il revient à l'âge de 18 ans, sa chambre d'étudiant est une « thurne » et cela résume l'état jeune du narrateur. Pas d'autre changement de langage, de style. Et ce terme qui revient régulièrement dans le livre…
Une citation résumant la fin des années 80 selon l'auteur :
« des épidémies atroces, une révolution dans les attitudes sexuelles suivie de sa réaction, triomphe et tragédie dans l'espace ; les rues de la ville hantées par des punks au regard vide, bardés de cuir et de chaînes, leurs cheveux en épis roses ; des rayons de la mort en orbite autour d'une planète polluée, en train d'étouffer... Bon Dieu, se dit Jeff avec un frisson, de ce point de vue, son monde avait tout l'air d'un cauchemar de science-fiction. À bien des égards, la réalité à laquelle il s'était habitué ressemblait plus à des films comme Blade Runner qu'à la naïveté ensoleillée du printemps 1963. »
Je ne sais pas si certains se rappellent cette époque, mais nous étions loin de cette description.

Après un tiers du livre, je me suis décidé à lire en diagonale, me disant que toutes ces critiques positives devaient avoir un fondement. Mais non.
En outre, la morale du livre est plus que douteuse.
Fans de « romantisme », vous pouvez y trouver votre compte, les autres fuyaient.
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Alors que la quatrième de couverture était particulièrement allechante, j'ai été extrêmement déçue par cet ouvrage. Tout est plat, les personnages principaux sont d'un ennui mortel, le style d'écriture manque d'epaisseur, l'intrigue vue vue et revue.... le tout dans quelquechose d'assez caricaturale avec des valeurs familiales et moralisatrices dignes d'un telefilm américain.
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Replay, un livre qu'on ne présente plus.
En 1988, Jeff décède d'une crise cardiaque. Son mariage battait de l'aile, son job n'avait plus rien de passionnant... & il n'avait que 43 ans. Une vie morne... qu'il a la chance de recommencer : en effet, Jeff se réveille en 1963, dans la peau de l'étudiant qu'il était & avec tous les souvenirs de son ancienne vie en tête.
Cette fois : il va pouvoir vivre la vie dont il rêve & ne plus reproduire les mêmes erreurs ! Il gagne de l'argent, beaucoup d'argent, créer son entreprise & fonde une famille. Mais de nouveau, en 1988, Jeff décède d'une crise cardiaque... & se réveille une nouvelle fois en 1963.
C'est sur cette base que le livre est construit : Jeff meurt plusieurs fois, vit plusieurs vies, tente plus ou moins de changer L Histoire, le monde & surtout son existence.

Je me suis profondément ennuyée !
Ok, la quatrième de couverture promet de toute façon de la répétition, & j'étais justement curieuse de lire la manière dont Ken Grimwood allait la traiter. Mais ça n'a pas fonctionné pour moi. Jeff ne m'a pas touchée du tout, je l'ai trouvé sans profondeur & sans charisme. Sans parler de ses "replay", ses réincarnations, sans consistance.
En bref, une grande déception pour moi.
Lien : https://www.instagram.com/si..
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Et si on pouvait revivre sa vie? Mieux encore, avec les souvenirs, l'expérience accumulée en l'ayant vécue.... La question n'est pas nouvelle est on pourrait s'imaginer parti pour le jour de la marmotte. Sauf que... ce serait sympa finalement d'être parti voir la marmotte, elle est sympa cette marmotte, et son histoire. Tandis que là, gros souliers américains, l'habituel... si je savais alors je pourrais jouer et me remplir les poches, m'acheter la grosse bagnole, la nana bien sûr.... bref, le topo habituel vu et revu dans les séries et films américains. Et comme j'ai la vague impression qu'on va aussi avoir droit au cours de moral habituel (genre l'argent fait pas le bonheur et autres vus déjà vus et revus) j'ai laissé tomber, sans regrets
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Un livre qui semblait bien par le résumé et par la couverture. Mais une description beaucoup trop envahissante, celle-ci impose son décor et malheureusement, on accroche ou on accroche pas.
Le fait qu'il refasse plusieurs fois sa vie, et ce à partir de 18 ans est un bon concept, mais 9 fois c'est beaucoup trop.
Un autre fait qui est plutôt agaçant, c'est le fait que Jeff est persuadé que, peu importe la vie qu'il ait, qu'il soit riche ou pauvre, qu'il travaille dans une énorme entreprise ou non, son destin est automatiquement avec sa femme de sa toute première vie, Linda.
Il crée aussi une forme de prétention par ses 43 ans dans la tête et 18 ans physiquement, en plus des 43 années qu'il vit à chaque fois.
Le reproche pour ce livre est que si on est pas accroché au bout de 2, ou 3 vies maximum, on ne peut pas s'accrocher jusqu'à la neuvième.
C'est plus compliqué de s'attacher à ce livre et ses personnages que de s'en détacher.
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