Vie de cirque pendant la Grande Dépression. Daniel, vétérinaire attitré, s'éprend de Marlène, artiste de la cavalerie et épouse de August, brute managériale qui n'a rien d'un mois d'été. A la page 184, enfin, apparaît Rosie, l'éléphante arme fatale.
Grosse déception pour ce roman qui a pourtant conquis plusieurs lecteurs. J'ai surtout été déçue par le style près du degré 0 de l'auteure. Absence complète de contemplation et d'introspection. Par contre, du dialogue bien bourrin, c'est en veux-tu, en voilà. Puis, l'histoire d'amour à l'eau de rose, c'est trop peu pour moi.
Il y a des romans de gare qu'il vaut mieux laisser au tabac de la gare.
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Cette histoire d'amour et d'humanité est magnifique, mais elle n'apparaît que le temps de quelques pages. le reste est maussade, ennuyeux, répétitif.
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