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Critique de doyoulikefrogs
Mon cerveau aimerait avoir tout retenu de ce livre de P. HAMON, mais l'épaisseur de l'ouvrage ne m'a pas aidée. Cependant trois bons points qui rendent ce livre intéressant :
1) le plan. le choix de la table des matières rend la grande Histoire non linéaire et l'expose sous toutes ses facettes économiques, culturelles, politiques et sociales. Apprendre le plan par coeur aide plus que d'apprendre le contenu. ;)
2) le choix des textes sources et de l'iconographie. Je me suis rendue compte que je m'arrêtais pour contempler les images et lire les textes sources sans rechigner. Entre le procès d'Alençon sous les Valois et les cartes des campagnes d'Italie, l'iconographie Renaissance est très adaptée à la compréhension de certains chapitres.
3) Une histoire du pouvoir et de la Cour. L'ouvrage ne discute pas de sujets comme l'art à la Renaissance en France ou les sciences et intellectuels De La Renaissance. TouT juste effleure-t-il l'image de Léonard de Vinci ou du mécénat de François Ier. Mais le livré dépeint la relation entre le peuple et le pouvoir, la puissance du Prince et des Rois, le rôle des impôts et des échanges commerciaux, de l'agriculture et de la justice sur la démographie. Bref, l'aspect culturel est peu développé par rapport au contexte socio-politico économique. S'il traite des Renaissances au pluriel, l'aspect renaissance des sciences et techniques, renaissance des arts et de la littérature est trop brièvement discuté. Néanmoins on trouve une historiographie autour de François Ier et de Rabelais en fin d'ouvrage.
Son défaut : l'auteur essaie d'embrasser toute la Renaissance française en un ouvrage de 1453 à 1559 mais certains aspects De La Renaissance passent pour anecdotiques quand ils sont plus développés dans d'autres ouvrages comme celui de J.F. Solnon, P. Boucheron ou L.Bély.
1) le plan. le choix de la table des matières rend la grande Histoire non linéaire et l'expose sous toutes ses facettes économiques, culturelles, politiques et sociales. Apprendre le plan par coeur aide plus que d'apprendre le contenu. ;)
2) le choix des textes sources et de l'iconographie. Je me suis rendue compte que je m'arrêtais pour contempler les images et lire les textes sources sans rechigner. Entre le procès d'Alençon sous les Valois et les cartes des campagnes d'Italie, l'iconographie Renaissance est très adaptée à la compréhension de certains chapitres.
3) Une histoire du pouvoir et de la Cour. L'ouvrage ne discute pas de sujets comme l'art à la Renaissance en France ou les sciences et intellectuels De La Renaissance. TouT juste effleure-t-il l'image de Léonard de Vinci ou du mécénat de François Ier. Mais le livré dépeint la relation entre le peuple et le pouvoir, la puissance du Prince et des Rois, le rôle des impôts et des échanges commerciaux, de l'agriculture et de la justice sur la démographie. Bref, l'aspect culturel est peu développé par rapport au contexte socio-politico économique. S'il traite des Renaissances au pluriel, l'aspect renaissance des sciences et techniques, renaissance des arts et de la littérature est trop brièvement discuté. Néanmoins on trouve une historiographie autour de François Ier et de Rabelais en fin d'ouvrage.
Son défaut : l'auteur essaie d'embrasser toute la Renaissance française en un ouvrage de 1453 à 1559 mais certains aspects De La Renaissance passent pour anecdotiques quand ils sont plus développés dans d'autres ouvrages comme celui de J.F. Solnon, P. Boucheron ou L.Bély.
