Citations sur L'été où je suis devenue jolie, tome 2 : L'été où je t'ai.. (84)
- Avec les autres, peut-être, mais pas avec toi.
Et on a beau déployer tous les efforts du monde, on ne peut pas s'empêcher de rêver.
La nouvelle est arrivée un matin, très tôt. Le jour n'était pas encore levé. Elle était forcément mauvaise : seules les mauvaises nouvelles ne peuvent pas attendre.
Je tenais à garder cet instant en mémoire, au cas où je ne reviendrais pas ici. On n'a jamais conscience qu'on voit un endroit pour la dernière fois. Ou une personne.
le Futur n'est pas clair, mais c'est le mien.
C'est arrivé très tôt le matin et seules les mauvaises nouvelles ne peuvent pas attendre.
Peut importe le nombre de blessures qu’il lui avait infligées, s’il voulait la récupérer, il l’aurait, je ne me faisait pas d’illusions. Elle n’avait toujours eu d’yeux que pour lui. Mais peut être que s’il ne se dressait plus en travers du chemin elle finirait pas me voir, moi aussi.
On a beau déployer tous les efforts du monde, on ne peut pas s'empêcher de rêver.
Je croyais savoir ce qu’on ressentait quand on avait le cœur brisé. Je croyais que c’était ce qui m’était arrivé au bal de promo, lorsque j’avais été abandonnée. Ce n’était rien. Là, là j’avais le cœur brisé. La douleur dans la poitrine et derrière les yeux. La conscience que plus rien ne sera jamais pareil. Tout est relatif, je suppose. On se figure qu’on connaît l’amour, qu’on connaît la véritable souffrance, mais c’est faux. On ignore tout.
I thought I knew what heartbreak felt like. I thought heartbreak was me, standing alone at the prom. That was nothing. This, this was heartbreak. The pain in your chest, the ache behind your eyes. The knowing that things never be the same again. It’s all relative, I suppose. You think you know love, you think you know real pain, but you don’t. You don’t know anything.