Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, tome 2 : Le laboratoire aux serpents

Ce tome deux est beaucoup plus agréable à lire que le premier, bien que le mot agréable soit difficilement le terme qu'on associerait Aux Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Mais malgré le côté sordide de l'histoire, j'ai été beaucoup plus enchantée de lire ce second tome. La présence de l'oncle Monty y est sans doute pour beaucoup. Ce nouveau personnage donne un peu plus de gaieté aux aventures de nos orphelins, tout comme son métier. Il est vrai que cela ne dure guère longtemps mais il a été plus plaisante de le voir prendre soin des enfants que lorsque cette tâche était accomplie par leur ancienne voisine. Peut-être parce que cette fois-ci, il est plus facile d'imaginer les trois enfants avoir enfin une vie meilleure.

Bien entendu, grâce aux nombreuses interventions de l'auteur, nous savons pertinemment que quelque chose de terrible va arriver aux enfants. Nous avons été prévenu dès le départ, et même si l'on a envie que leurs mésaventures se terminent, il faut se faire une raison. Et une fois faite, nous pouvons nous focaliser sur l'autre point qui selon moi est le plus intéressant de l'histoire. L'enquête et surtout comment arriver à dévoiler les plans d'Olaf et à le démasquer.

Cette partie là est ce qui empêche ce second tome a être la copie conforme du premier. Car dans le premier, il nous était dit assez clairement ce que le comte allait faire, et comment. Ici, Prunille, Klaus et Violette se transforment en détectives et cherchent les preuves qui incrimineront leur ennemi. Nous suivons donc tout le cheminement et espérant comme les enfants que cela mènera l'horrible Olaf sous les verrous.

Le style narratif est toujours aussi spécial, me rappelant à certain moment celui de C S Lewis, notamment à cause des interventions du narrateur, mais aussi par la présence de morale, et d'avertissements à l'adresse des enfants. Mais il n'en est pas gênant pour autant, je trouve même qu'il est parfait vis à vis de l'ambiance et de l'histoire même. J'attends de lire la suite, en espérant que l'auteur aura trouvé une autre tournure pour ce tome trois, et ainsi éviter toute répétition.

Les aventures des orphelins Baudelaire restent toujours aussi désastreuses.
Au moment où nous pensons qu'ils pourraient vivre heureux, bing! un terrible accident se produit.

J'ai encore du mal à me faire un avis tranché sur cette série.

Malgré la présence, à nouveau, de facilités dans le scénario, ce deuxième tome m'a intéressée.

J'apprécie les interventions du narrateur même si parfois, il nous révèle
des éléments qu'il aurait été préférable de découvrir le moment venu.

Enfin, ce leitmotiv que les choses vont forcement prendre une tournure lugubre pourrait être lassant mais pour le moment, ce n'est pas le cas (en même temps, je n'en suis qu'au tome 2!).
Prenons cette série comme un conte mais sans "marraine la fée".
Ou si, dans le personnage de M. Poe mais ce serait une marraine qui a beaucoup de difficulté à comprendre !
Car même une petite fille qui sait à peine parler comprend mieux la situation que lui.

Le conteur ne nous laisse donc aucun espoir et cela, tout au long du récit, mais malgré tout, je n'ai pas pu m'empêcher de souhaiter que l'oncle Monty et sa demeure reste le refuge des orphelins.
Malheureusement, il en va tout autrement.
En même temps, si cela avait été le cas, il n'y aurait plus de "désastreuses aventures".

J'ai retrouvé avec plaisirs les frères et soeur Baudelaire là où je les avais laissé à la fin du premier tome, c'est à dire libérés de l'emprise du conte Olaf - qui les avait recueilli après la mort de leurs parents - mais incertains quant à leur avenir...

Violette, Klaus et Prunille sont cette fois recueillis par un autre membre de leur famille, un vieil oncle excentrique appelé Montgomery Montgomery, spécialiste en herpétologie et propriétaire d'une serre gigantesque remplie de serpents ! Mais les premiers jours de cohabitation joyeuse vont vite faire place à de nouveaux rebondissements funestes dans la vie des orphelins, et leur bonheur durement gagné va disparaître dans un claquement de doigt (l'auteur ne se prive pas de nous le dire et de nous encourager à refermer ce livre !)
Ce second tome m'a vraiment beaucoup plu. Tout d'abord parce que je commence vraiment à m'attacher aux enfants, à leurs lubies et à leur fascination pour la lecture (et les inventions, et toutes choses dans lesquelles on peut planter ses dents !...) mais aussi parce que l'excentricité des personnages et le ridicule de certaines scènes m'ont follement amusée ! M. Poe - plus toussant et crachotant que jamais - se surpasse en naïveté et prise de tête, et Olaf est plus perfide et sombre que jamais, n'hésitant pas à éliminer tous les obstacles qui se trouvent sur son chemin et l'empêchent de s'emparer de la fortune Baudelaire. le premier tome montrait déjà à quel point il était capable d'imagination pour parvenir à ses fins mais cette fois son côté démoniaque nous est entièrement révélé !

Quant à Violette, Klaus et Prunille, ils doivent encore une fois user de tous leurs talents pour arriver à faire entendre raison aux adultes et s'éviter une fin tragique. Les ingrédients qui m'avaient tellement plu dans le premier sont encore une fois mis à l'honneur, et l'auteur n'hésite pas à faire irruption dans le récit - pour mon plus grand plaisir - en multipliant les interventions, les bons mots, les allusions littéraires et les explications de certaines expressions qui pourraient paraître trop complexes aux enfants.
Les lettres découvertes à la fin de chaque livre, rédigés par Lemony Snicket à son éditeur, permettent d'en apprendre un peu plus à chaque fois sur la prochaine histoire. le procédé est sympathique et donne aussitôt envie de se plonger dans le tome suivant !

Bref, une belle découverte, qui devrait sans problème convenir et être appréciée par les petits, avec un contexte original, des émotions bien réelles et une tristesse certes omniprésente mais adoucie par la présence de personnages excentriques et drôles. Tout cela est bien loin des univers féeriques aux fin heureuses que l'on s'attend à retrouver dans ce genre de littérature.
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Après les aventures du tome 1, Violette, Klaus et Prunille sont recueillis par l'oncle Marty, un homme absolument adorable avec beaucoup d'humour. Celui-ci étudie les serpents et possède donc un laboratoire contenant de multiples espèces à l'intérieur même de la maison. Les enfants sont bien évidemment fascinés et la curiosité dont ils avaient déjà fait preuve dans le premier tome est toujours aussi présente. L'oncle Marty apporte une vraie bouffée d'oxygène dans la vie des enfants mais ce départ encourageant laisse très vite place aux catastrophes habituelles.

Le titre de la saga est clair, les aventures des orphelins Baudelaire sont désastreuses et non merveilleuses. le comte Olaf est de retour, sous une fausse identité et les enfants vont devoir agir afin de ne pas se retrouver à nouveau sous sa coupe. Il y a un petit côté "seuls contre tous" dans leur histoire. Ils vont tenter de se sortir de ce mauvais pas à la seule force de leur talents individuels : l'inventivité de Violette, la curiosité littéraire de Klaus et les dents de Prunille.

Ce tome est plus sombre que le premier, voir même un peu violent, et c'est à se demander parfois si cette saga est bel et bien destinée aux enfants. Cependant, le côté loufoque voir un peu fou atténue quelque peu le côté morbide de certaines scènes.
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Suite, pour notre plus grand plaisir, des histoires de nos malheureux orphelins, qui après s‘être tirés des griffes du machiavélique Olaf, croient avoir du répit chez leur oncle Montgomery Montgomery, herpétologue de renom et grand amateur de gâteaux à la noix de coco. Leur oncle Montgomery Montgomery qui, s'il a un grand coeur, a aussi ce tragique défaut qu'est la naïveté la plus absolue.
On entre réellement dans le « format » de la plupart des récits de Lemony Snickett avec ce tome. Après cette introduction qu'était le tome 1, on entre dans le vif du sujet : des histoires absurdes, absolument délicieuses et inattendues, et toujours ce bon vieux comte Olaf, fourbe comme jamais, qui s'immisce au milieu de tout ça pour tenter de dérober par une énième manière la fortune Baudelaire.
Dans ce tome, le vaste délire qu'est l'intrigue tourbillonne autour de serpents, certains très gentils et d'autres beaucoup moins, d'un voyage au Pérou, de gateaux à la noix de coco, d'un drôle d'assistant, et de séances cinéma avec des yétis.
L'intrigue est très dynamique, l'écriture de Lemony Snickett maintient son niveau d'excellence en jeunesse, alliant vivacité de la prose et originalité du propos. On commence à bien s'attacher à nos pauvres orphelins, et on se demande déjà quand les calamités les entourant cesseront (la réponse exacte est : pas maintenant).
Un tome qui fait également réfléchir sur la naïveté, qui est je pense une petite soeur de la bêtise, et donc également une mauvaise fée de l'humanité.

Une réussite, donc.

Même si globalement j'ai bien aimé le tome 1, je n'avais pas une folle envie de me lancer dans ce deuxième tome. Malgré tout, pour avancer dans cette saga, je me suis lancée. Les enfants ont échappé de justesse au Comte Olaf. Ils sont alors placés chez Monty, un oncle éloigné, éminent herpétologue. Tout va bien pour nos héros jusqu'à l'arrivée de Stéphano, le nouvel assistant de Monty.

Ce que j'avais le plus envie de retrouver en lisant ce livre, c'est le style particulier de l'auteur, Lemony Snicket. J'avais bien accroché à son style plein d'humour dans le tome 1. J'ai été ravie de voir qu'il en restait de même dans ce second tome. Ce style est vraiment l'atout principal de ce livre. Par contre, ce qui est dommage, c'est que l'auteur utilise exactement la même trame que pour le premier volet donc il n'y a pas de diversification de l'intrigue. On reste sur la même base, on reprend tout en changeant seulement un peu le décor et c'est dommage.

Nos trois héros, Violette, Prunille et Klaus restent fidèles à eux-mêmes. Ils sont débrouillards et font beaucoup de choses mais ils n'en font pas trop pour rester crédibles pour des enfants de leur âge. J'ai bien aimé l'Oncle Monty, l'oncle des enfants. Il est loufoque, drôle et se soucie vraiment des Baudelaire. le Comte Olaf est fidèle à lui-même et reste vicieux, prêt à tout pour mettre la main sur la fortune des enfants. Même si je ne l'aime pas, il est indéniablement un bon méchant. Poe, le tuteur des enfants est quant à lui toujours aussi exaspérant et crédule.

A cause de la trame similaire, je me suis un peu lassée sur la fin du livre. J'ai eu du mal à terminer ce livre qui est pourtant très court.

Pour conclure, même si j'aime beaucoup le style de Lemony Snicket et que les personnages sont attachants, je me suis lassée. La trame de l'histoire est redondante, j'ai eu du mal à terminer ce livre. du coup, même si je n'ai pas détesté ma lecture, je pense que je vais m'arrêter là avec cette saga.
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Ce second tome se lit facilement, il arrive toujours autant de malheurs aux orphelins Baudelaire et l'histoire est bien ficelée.
Mais je trouve ça un peu répétitif, ça manque de surprises.
On se doute que les malheurs sont continuer, et du coup à un moment j'ai trouvé ça un peu trop.
Ce n'est pas une lecture désagréable mais ce n'est pas un coup de coeur pour moi.
Je mets trois étoiles :)

Le Laboratoire aux Serpents est le second tome des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire, la série écrite par Lemony Snicket et illustrée par Brett Helquist.

Après les évènements ayant conclu le 1er tome (Tout commence Mal…), Violet, Klaus et Prunille sont confiés au Professeur Montgomery, un lointain parent spécialisé en herpétologie (le titre du livre devrait vous donner une idée de ce qu'il étudie si vous ne connaissez pas cette spécialité). Alors qu'ils préparent un voyage scientifique au Pérou, le méchant Comte Olaf pointe à nouveau le bout de son nez crochu…

Ce 2e volume est dans la lignée du précédent, peut-être juste un peu moins haletant. Les ficelles utilisées sont simples et prévisibles, mais ça reste sympathique.

Le contexte du laboratoire d'herpétologie est intéressant, mais pas suffisamment exploité, c'est dommage. Et là où le 1er tome laissait la part belle aux lectures de Klaus et aux inventions de Violet, ce second tome m'a semblé un peu succinct.

Une suite sympathique, mais à laquelle il manque quelque chose pour être à la hauteur du précédent.
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Suite de notre lecture à ma fille et à moi des orphelins Baudelaire : dans ce tome 2 intitulé "Le laboratoire aux serpents", les enfants se trouvent un nouveau tuteur en la personne de Montgomery Montgomery, célèbre herpétologue. Non, il n'est pas un spécialiste de l'herpès (!), mais des reptiles, et nos orphelins découvrent avec plaisir son laboratoire regorgeant de serpents tous plus intrigants les uns que les autres. Malheureusement, leur funeste destin va les rattraper, et leur faire vivre une nouvelle aventure... Même si on reste dans le même ton que le précédent volume, on découvre ici dans une nouvelle ambiance, un peu à la museum d'histoire naturelle, avec ses grandes verrières luxuriantes, et les cages de la grande ménagerie. Bon, il faut bien avouer que les ficelles de l'intrigue sont grosses comme le bras, mais rappelons qu'il s'agit de littérature enfantine. En tout cas vivement le 3ème tome !

À travers treize tomes, la série décrit les malheurs de Violette, Klaus et Prunille, après l'incendie ayant coûté la vie à leurs parents. Si leur persévérance leur permet régulièrement d'échapper aux manigances du Comte Olaf, personnage machiavélique prêt à tout pour s'emparer de leur fortune par tous les moyens possibles, leurs talents respectifs ne réussissent pas à les sortir d'une série de catastrophes en tous genres qui ne cessent de s'abattre sur eux.