Le Monde de Narnia : L'Odyssée du Passeur d'aurore Bande-annonce (2) VF
L'expérience est un professeur brutal, mais on apprend, mon Dieu comme on apprend!
Or le problème, si vous essayez de vous rendre encore plus sot que vous ne l'êtes déjà, c'est que vous avez toutes les chances d'y arriver assez facilement.
Sache que le vrai savoir ne s'obtient jamais sans sacrifice.
S'il existe des gens qui peuvent se présenter devant Aslan, sans que leurs genoux tremblent, ils sont soit plus courageux que les autres, soit tout simplement stupides
Quand j’avais dix ans, je lisais des contes de fées en secret et j’aurais eu honte d’être surpris. Maintenant que j’en ai cinquante, je les lis ouvertement. En devenant un homme, j’ai abandonné des attitudes enfantines comme la peur d’être infantile et le désir d’être très adulte.
Quand je me suis penchée sur cette poussière en songeant que chacune de ses particules avait appartenu à un autre monde, pas à une autre planète tu comprends, car les planètes font partie de notree monde et il suffirait de voyager assez loin pour les atteindre, non, vraiment un monde autre, une nature autre, un univers autre, un lieu que personne ne pourrait jamais atteindre, même en voyageant à travers l'espace pendant une durée indéfinie, un monde auquel seul la magie permettrait d'accéder... ah...
Le mal se change en bien
Aussitôt qu'Aslan revient,
Au bruit de son rugissement
Disparaissent tous les tourments,
Quand il montre ses dents,
L'hiver meurt sur-le-champ,
Et dès qu'il secoue sa crinière,
Le printemps renaît sur la terre.
Le jour où la chair d'Adam, où les os d'Adam
Siégeront sur le trône de Cair Paravel,
Le temps des malheurs cessera complètement.
- Je suis la faim. Je suis la soif. Quand je mords, je ne lâche jamais prise, et, si je suis mort, on doit prendre une épée pour me séparer du corps de mon ennemi, et m' enterrer avec ma bouche pleine de sa chair. Je peux jeûner cent ans et ne pas mourir. Je peux rester cent nuits étendu sur la glace, et ne pas geler. Je peut boire une rivière de sang, et ne pas éclater. Montrer-moi vos ennemis !
"On ne peut pas rester indéfiniment un simple oeuf. Il nous faut éclore ou pourrir."

— Mais, attendez un peu, dit Eustache. Tout ça n’est que balivernes. La terre est ronde… Je veux dire, ronde comme un ballon, pas comme une table.
— Notre monde est comme ça, le reprit Edmund. Mais celui-ci ?
— Tu veux dire, s’étonna Caspian, que vous trois venez d’un monde rond, rond comme un ballon, et que vous ne me l’avez jamais dit ! Ce n’est vraiment pas gentil de votre part. Car nous avons des contes de fées qui se passent dans des mondes ronds et je les ai toujours adorés. Je n’ai jamais pensé que ça puisse exister dans la réalité. Mais j’ai toujours souhaité qu’il y en ait et j’ai toujours rêvé d’y vivre. Oh ! j’aurais donné n’importe quoi… Je me demande pourquoi vous pouvez venir dans notre monde, et nous jamais dans le vôtre. Si seulement j’en avais la possibilité ! Cela doit être passionnant de vivre sur quelque chose qui ressemble à un ballon. Est-ce que vous êtes déjà allés dans les parties de votre monde où les gens marchent la tête en bas ?