"Il serait juste aujourd’hui qu’on lui rende enfin hommage et que l’on reconnaisse en cette femme le grand roi qu’elle a été."
"Le roi François, paillard qu’il était, ne supportait aucun manquement à la bienséance pense en sa cour. On admettait que l’on puisse lutiner les dames, on tolérait même la bougrerie, mais les bonnes convenances devaient être sauves. Pas question de mettre mon monde un enfant sans titre, sans nom, sans père…"
"Je n’ai rien à vous reprocher sinon que vous n’aimez pas les gens que j’aime." François Ier à l’adresse de sa favorite.
" Je voudrais bien voir la clause du testament d’Adam qui m’exclut du partage du monde".
"Vous n’imaginez même pas jusqu’où ces deux harpies sont capables d’aller ! Elles finiront par mettre ce royaume à feu et à sang ! Car ce qui devrait rester du domaine privé est rapidement devenu politique ! Diane soutient le clan des catholiques et Anne celui des réformés, et chacune attise la haine de l’autre parti. Vous souvenez-vous de cette épouvantable affaire de Placards
"Au royaume de France, c’étaient les favorites qui portaient culotte."