La Casquette

Aujourd'hui Auguste fête ses 90 ans entouré de sa famille et de ses amis. Tout va pour le mieux quand soudain la petite Camille revient avec une casquette, celle d'un officier nazi trouvée sous une armoire. Auguste est catégorique: cette casquette ne lui appartient pas. Mais, sa famille s'interroge et veut connaître la vérité. La passé refait surface. Auguste se souvient et raconte... 1943, sa rencontre avec Lucie sa défunte épouse, ses parents, la vie et le quotidien tourmentés par la guerre, l'occupation allemande, les nazis mais surtout la résistance, les missions à risque. Il raconte les actes irréparables, les choix que chacun a dû faire, les drames...

Le choix de la couverture est judicieux pour illustrer ce repas qui va déraper révélant des secrets enfouis lors de la Seconde Guerre Mondiale. La construction du roman est très réussie. Nous sommes dans un huis clos. Les nombreux dialogues dans la partie présente rendent le tout très dynamique. Puis les parties passé éclairent le présent, nous révèlent l'origine de cette fameuse casquette. C'est un objet qui fait monter la pression entre chacun, qui replonge dans un passé qu'on aurait voulu oublier. L'auteur s'est inspiré de faits réels et c'est très intéressant. Je suis toujours curieuse des livres sur cette époque et j'ai adoré celui-ci qui nous emmène en plein coeur de la résistance. C'est un livre qui nous montre que le passé laisse des traces et c'est un magnifique hommage à tous les héros de cette période, des femmes et des hommes qui ont oeuvré pour la bonne cause au péril de leur vie et celle de leurs proches. C'est un roman très bien ficelé. Emotions et rebondissements sont au rendez-vous. Si vous aimez cette période de l'Histoire, je vous le conseille.
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Un roman bouleversant et complètement inattendu. Nous sommes là, dans deux temporalités : le présent en famille en huis clos et le passé où on voit la jeunesse d'Auguste et de ses amis.

L'auteur manie avec la perfection entre la fiction et la réalité. Beaucoup de rebondissements et de mystères jalonnent ce roman qui a su complètement m'emporter. J'aime lire à l'occasion des romans qui traitent de la seconde Guerre Mondiale et celui ci est vraiment une réussite.

Auguste, au crépuscule de sa vie, va devoir expliquer pourquoi, une casquette datant de la seconde Guerre Mondiale de l'armée ennemie se trouve chez lui. J'ai aimé comment cela a été amené. L'écriture est fluide et très agréable. Des passages tristes, d'autres qui prêtent à sourire, mais surtout in roman d'amour et d'amitié. J'ai été complètement bouleversée par cette histoire.

Un grand bravo pour ce roman et cette couverture, simple, sobre et subtile.

Je remercie Peter Hansaberg pour l'envoi de son roman auto-édité que j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir et qui mérite la plus grande attention. A l'image de l'illustration merveilleusement bien choisie, le texte est juste et plein de surprises. L'auteur nous plonge dans une histoire qui oscille entre théâtre et roman, présent et passé, famille et résistance.

Auguste réunit ses proches pour fêter ses quatre-vingt-dix ans. Une réunion de famille qui se voulait festive mais l'apparition d'une casquette nazie interpelle et impose des révélations.

C'est un roman qui m'a particulièrement touché car il traite de nos aïeuls qui ont vécu la seconde Guerre Mondiale. Mon grand-père maternel a fait parti de ces glorieux résistants dont j'ai pu lire les actions à travers son récit non publié. Ce roman m'a rapproché de lui le temps de la lecture. Il questionne sur le besoin de connaître son Histoire et l'importance de partager ces témoignages précieux.

Le texte est fluide, l'histoire est touchante. J'ai beaucoup aimé le personnage de Lucie, qui est à la fois vaillante et volontaire. Elle résume sa force à son sourire alors qu'elle est héroïque. C'est une belle image.
Le rythme va crescendo avec de nombreux rebondissements. Pour moi ce n'est pas qu'un roman historique car la part romanesque est importante et apporte une vision moderne d'un thème souvent abordé avec gravité et solennité.

Bref une belle réussite que je vous invite à découvrir.

Un livre bien documenté, qui allie rigueur historique et suspense psychologique. La forme est originale. Les allers-retours entre présent et passé font s'alterner des chapitres sur le mode « roman » et d'autres sur le mode « théâtre ». Ce mélange des genres passe très bien. Ne ratez pas la postface qui explique la genèse du roman et justifie les péripéties qui font se marier la petite et la grande histoire. En résumé, un bon moment de lecture, aussi divertissant qu'instructif.

Je remercie l'auteur pour l'envoi de son roman et pour sa confiance.
A ma grande surprise, j'ai beaucoup aimé cette lecture: je ne suis pas très amatrice des récits de guerre mais j'aime sortir de ma zone de confort et c'est une réussite !
Cette histoire est vraiment atypique et pleine de rebondissements inattendus.
L' écriture est agréable et bien rythmée. En double temporalité, nous voyageons entre le présent en huis clos (la fête d'anniversaire) et le passé d'Auguste et de ses amis pendant la 2ème guerre mondiale.
Les deux périodes sont distinguées par deux styles différents : le présent sous forme de discussions façon "théâtre" et le passé comme un roman historique; j'ai vraiment apprécié cette alternance.
Et je salue le travail de recherche historique très instructif.
Je vous recommande vivement ce livre!

Instagram : visionbykri

Prenez le temps d'observer attentivement la couverture … Elle en dit long sur la qualité de cet ouvrage…
J'ai tout d'abord apprécié la plume fluide de l'auteur et la façon dont sont présentés les chapitres … On alterne entre une « sorte de pièce de théâtre » où Auguste échange avec ses amis et ses enfants et des chapitres narratifs sous forme de flashbacks dans le passé … Et c'est ainsi qu'on commence à être obsédé par cette intrigante casquette … Quel talent Peter Hansaberg ! On est littéralement aspiré par cette intrigue, cette histoire, ses secrets « honteux » jamais révélés … Les pages se tournent … On ne peut plus s'arrêter … et finalement, on en oublie cette « casquette » et on est bouleversé par cette tragédie qui a touché Auguste … et surtout, on est admiratif de ce bel hommage qui est rendu à tous ces héros de l'ombre de cette Seconde Guerre Mondiale.
Un immense MERCI Peter pour ce roman … Je me suis irrémédiablement attachée à Auguste … J'avais l'impression de partager à nouveau un joli moment aux côtés de mon grand-père qui lui aussi a été Résistant dans le Vercors … mais qui malheureusement, ne nous a jamais révélé « son » histoire … tant elle était douloureuse pour lui.
Si comme moi, vous appréciez les romans qui vous transportent dans le passé et que vous aimez découvrir ces auteurs auto-édités plein de talent, n'hésitez pas à vous procurer LA CASQUETTE, je suis certaine que sa lecture ne vous laissera pas indemne…

Résumé : Auguste fête ses 90 ans, avec ses deux fils, ses belles-filles, ses amies d'enfance. Ses tendres proches. Mais lorsque la petite Camille la petite fille des voisins ramène de l'atelier de peinture d'Auguste, une casquette nazie, tous dérapent en fiscaux. Mais cette casquette est à l'origine de nombreux secrets et de tragédie qui remonte au passé.

Mon avis : un vrai coup de coeur pour ce livre, un livre touchant. de moment du présente et des moments du passé refonds la surface. J'ai adoré suite à la terrible histoire raconter par Auguste. L'auteur parle de faits réel de cette période. Je vous recommence cette histoire absolument. Un vrai attachement pour Auguste, un petit coup de gueule pour l'aigrie François.

Auguste est passionné depuis toujours par la peinture. Il fête aujourd'hui ses 90 ans et tous se sont réunis pour ce bel événement : famille et amis de toujours.

Mais la petite Camille, en fouillant dans les recoins de l'ancien atelier de peinture, déniche sous une armoire une casquette. Mais pas n'importe quelle casquette, une casquette nazie.

L'ambiance s'alourdit, les questions fusent, auguste se replie dans son silence.

Pourtant, devant l'insistance générale et l'aide de ses amis, il se livre peu à peu, bien qu'avec réticences. Car les secrets sont lourds à porter. Hauts faits de résistance, lâcheté et collaboration, meurtres, trahison… Où se trouve la vérité ?

On explore avec intrigue dans les méandres du passé, de ces souvenirs morcelés, dont il faudra attendre le dénouement final pour voir enfin le tableau dans son entièreté et comprendre le pourquoi de ces silences.

L'auteur s'empare de faits réels pour les faire revivre, les honorer, et envouter son lecteur entre dialogues percutants et non-dits explosifs.

Coup de coeur pour ce roman.

Auguste, 90 ans, a réuni famille et amis pour célébrer son anniversaire. Lorsque la petite Camille, la plus jeune des convives, trouve une casquette nazie en s'amusant dans l'atelier de peinture d'Auguste et la ramène dans la salle à manger, c'est la stupéfaction. Que fait cette casquette maudite dans cette maison ? Et surtout, à qui appartient-elle ? le temps des révélations est venu pour Auguste, pressé par ses deux fils à dévoiler des secrets de famille profondément enterrés depuis des années.

Je dois l'avouer, si je ne m'étais fiée qu'à la couverture de ce roman, je n'aurai même pas tourner le livre pour lire le résumé tant je la trouve peu attrayante. Et c'est là que le dicton "il ne faut pas juger un livre à sa couverture" prend tout son sens, car je serai vraiment passée à côté d'une superbe histoire.
Il s'agit d'un roman à double temporalité, alternant les chapitres dont l'histoire se déroule au présent, dans le style "pièce de théâtre" faisant la part belle aux dialogues, et les chapitres relatant les faits s'étant déroulés en 1943 et 1944, dans un style de narration classique.
Le récit est très dynamique, sans temps mort et avec de nombreux rebondissements.
La plume de l'auteur est très agréable, sans fioritures.
J'ai également apprécié en apprendre un peu plus sur cette période de l'histoire, notamment grâce aux notes de l'auteur.
Je ne peux que vous recommander chaudement ce roman, vous ne serez pas déçu.

Ce livre à double temporalité, nous fait voyager de nos jours à la seconde guerre mondiale. L'auteur a utilisé deux styles d'écriture pour différencier les deux époques. Dans la première partie, il emploie un style type théâtre, le nom de chaque intervenant est inscrit devant les dialogues. La partie se déroulant pendant la Seconde Guerre est rédigée comme un roman. L'alliance des deux rend la lecture plaisante et addictive.

C'est le grand jour, Auguste fête ses 90 ans, son meilleur ami, ses voisins, ses deux fils et sa belle-fille sont présents. Ce qui devait être un jour de joie , se transforme dès l'arrivée d'une nouvelle venue "La Casquette" nazie. Celle-ci va attirer toute l'attention, mettre tout le monde mal à l'aise, des confrontations vont surgir.
Harcelé de questions par ses deux fils qui veulent connaître leur histoire familiale, Auguste va devoir dévoiler ce qu'il a toujours tu. Rien n'arrêtera leurs demandes même les supplications ou les larmes de leur père. Ils veulent savoir pourquoi cette casquette de l'ennemi était cachée dans l'atelier de la maison, pourquoi leurs grands-parents ont disparus et qu'à fait leur mère à cette époque. Auguste aidé de ses amis va donc raconter.

Suite à cela, je me suis interrogée, on est tous intéressé par notre histoire familiale pendant certaines périodes de guerres, que ce soit la seconde, l'Indochine, l'Algérie... Mais quand une personne préfère se taire, doit on quand même exiger des réponses ?

Je vous conseille fortement de découvrir ce roman plein d'émotion, riche en rebondissements et qui s'inspire de faits réels.