Marquant mon désaccord avec la 4è de couverture, qui parle de conte cruel et gai, j'ai trouvé le récit sombre et déprimant. La mort rôde et la fin est inéluctable, mais certainement pas source de joie.
J'avoue ne pas bien connaître l'oeuvre de
Jacqueline Harpman, mais je n'ai pas retrouvé dans ce livre l'auteure qui m'avait fait voyager par le passé. Sans doute Ostende évoque-t-elle pour moi la pluie belge et les digues défigurées, à l'instar du personnage principal de ce livre, arrivé au terme de son périple.
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