Attiré par la France depuis l'école et son professeur de français, Mr Cook, l'auteur finit par s'installer à Paris qui lui procure une "vie sans aucun doute meilleure et moins contraignante qu'aux Etats-Unis". Jeune homme noir, il insiste sur le manque de racines de ses pairs et sur le besoin inhérent de fuir, un patrimoine génétique presque, hérité des persécutions subies pendant l'esclavage et la ségrégation.
Il cite le cas de nombreuse autres personnalités telles que
Richard Wright,
James Baldwin,
Joséphine Baker ou encore Sydney Bechet.
Une vie sans la pression constante d'être noir ... mais à condition d'être américain et c'est ce que l'auteur découvre et souligne dans la deuxième partie de son témoignage.
L'acceptation de la couleur de peau ne fonctionne plus lorsqu'on est un noir africain ...
Un témoignage très réaliste, sans préjugés ni version idéalisée de Paris.
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