La solitude, c'est l'indépendance qui présente sa note.
Avant d'admettre l'absurde, on épuise toutes les solutions
La lune est le rêve du soleil.
_ Quelle purée de pois... Une chance que tu sois tombé sur nous. Tout seul dans ce brouillard, tu te serais perdu.
_ C'est étrange, le brouillard plus on le regarde de près, moins on le voit. Chez moi, il y en a souvent le matin. Il arrive pendant la nuit sans faire de bruit. Il glisse sur l'eau, il s'étale sur le matais et puis il disparaît. Je me demande d'où il vient.
_ Du ciel. Le brouillard, c'est un nuage qui est tombé par terre.
_ Où est la pluie ?
_ La pluie ? Quelle pluie ?
_ Mon ami Mikhaïl dit que les nuages sont de gros sacs pleins de pluie.
_ Ha Ha Ha ! C'est bien une réflexion de Gadjo ! Les nuages... des sacs de pluie... Ouh ouh ouh ! Comme si on pouvait enfermer la pluie dans un sac !
_ Ben alors... d'où elle vient, la pluie ?
_ Des nuages !
- La mer ? Qu’est ce que c’est ?
- De la flotte à perte de vue.
- Ça doit ressembler à mon marais, alors.
- Ouais, sans doute. Mais en très grand, et avec de l’eau salée.
- Ah ? Ça doit être pratique pour le pot-au-feu…
Écris tes blessures dans le sable, grave tes joies dans la pierre
Les femmes, ça supporte pas l'hiver.
" Personne n'est innocent ! On est tous coupables de quelque chose ! Hommes, femmes, tous ! Sauf peut être les enfants. Mais les enfants sont des cons. "
Le marais, c'est pas un truc de femmes. Elles aiment bien seulement quand il fait soleil. Quand il y a des bourgeons dans les arbres, des papillons qui s'agitenta utour... tu vois le tableau.
Dès qu'il pleut, y a plus personne, et l'hiver...
Les femmes, ça ne supporte pas l'hiver.
J’ai même mis les pieds dans des coins qu’on des noms tellement bizarres qu’on les trouve sur aucune carte parce qu’on sait pas comment les écrire.