Deuxième tome consacré à l'année 1916.Les enfants vivent d'expédients, mais j'ai trouvé cela assez mal rendu et peu crédible. Désolé. Même si je ne prétends pas avoir raison, j'ai l'âge d'avoir parlé de la guerre avec mes parents et grands-parents, et je trouve que l'on a droit à une version bien soft et édulcorée de la guerre. Je n'adhère pas.
Puis c'est la rencontre avec Hans, un déserteur allemand qui n'ambitionne que de retourner chez lui, retrouver sa femme enceinte. C'est pétri de bons sentiments. J'ai toutefois des doutes sur la véracité et la crédibilité. En 1915, l'Allemagne ne doute pas, les soldats avancent. Les récriminations, les doutes sont loin. Ils viendront. Mais c'est précoce à ce stade. En tant que déserteur, il ne peut ignorer que c'est le peloton d'exécution qui l'attend.
Je salue, cependant, la manière dont les auteurs clôturent ce tome.
Les dessins, le jeu des couleurs, de la lumière des bois, l'atmosphère empreinte de spleen, tout cela est de bon ton. Mais je garde les mêmes réserves que pour le tome 1. Crédibilité, véracité. Je ne m'y retrouve pas complètement. J'attribue toujours ma préférence à la série Les Enfants de la Résistance.
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Suite des aventures des lulus qui viennent de faire prisonnier un soldat allemand Hans, qu'ils vont apprendre à connaitre en cette année 1915.
C'est un album assez heureux dans l'ensemble. L'arrivée d'un adulte dans cet album ne change pas l'équilibre qui règne entre les enfants.
Cest une très belle histoire émouvante avec beaucoup de bienveillance.
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Nous suivons dans ce deuxième tome l'histoire de 4 garçons "les Lulus" et d'une jeune fille pendant la Première Guerre Mondiale, et plus précisément en 1915. Nous les avions quittés au moment où ils rencontraient un soldat allemand. Ils apprennent à cohabiter avec lui et peu à peu ils deviennent même amis, celui-ci leur apprenant plein d'astuces pour survivre avec le peu qu'ils ont.
J'ai beaucoup aimé ce volume, plus même que le premier tome de la série car celui-ci est plus tourné vers l'amitié quelle que soit la nationalité, et les ennemis peuvent devenir même amis. La fin est triste à la mort du soldat mais dépeint bien l'horreur de la guerre et son absurdité.
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