La vérité est ailleurs: De l'origine de l'Univers à celle de l'Humanité

Sirius, également appelée Alpha Canis Majoris, est l'étoile principale de la constellation du Grand Chien. C'est l'étoile qui apparait la plus brillante du ciel et qui fait partie de la catégorie des étoiles blanches. C'est aussi une des étoiles les plus étudié en astronomie, cependant le savoir des Dogons semble dépasser notre propre connaissance. Ainsi, ils savent depuis toujours que cette étoile est accompagnée par une autre plus petite, connue aujourd'hui sous le nom de Sirius B. Les Dogons nomment cette étoile "Po Tolo" ou "Po-Digitaria", du nom d'une graine particulière de millet, qui est très lourde mais de taille minuscule, précisément à l'image de Sirius B.
On sait en effet depuis 1920, que la particularité des naines blanches est d'être petite mais d'une très grande densité.
Selon eux, cette étoile, mettrait cinquante années pour faire le tour de Sirius A. Les Dogons fêtent d'ailleurs cet évènement particulier, tous les 50 ans, ils célèbrent la fête de "Sigui", afin de régénérer le monde.
Cette étoile n'a été découverte qu'en 1836, et identifiée comme une naine blanche qu'en 1915 et c'est en 1960 seulement, que la période de révolution de Sirius B autour de Sirius a pu être calculé avec précision, et cette révolutions s'effectue en... 50 années ! Comment les Dogons pouvaient-ils connaitre cette particularité depuis le début de leur histoire ?
Plus stupéfiant encore, ils affirment que Sirius est accompagnée par une troisième étoile, que nous ne connaissons pas actuellement. Cette étoile, qu'ils nomment "Emma Ya" aurait selon eux, une révolution de 32 ans autour de Sirius A. Elle tournerait sur une orbite elliptique assez excentrique et perpendiculaire à celle de Sirius B
Leur connaissance du système de Sirius est telle, qu'ils en possèdent des dessins et des cartes. Mais elle ne s'arrête pas là, ils prétendent que "Emma Ya" possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle, et que l'une d'elle est la planète d'origine de leurs "Dieux" et créateurs, lesquels seraient venus sur Terre, dans un passé lointain, à bord d'un vaisseau. Les Dogons relatent l'épisode de l'arrivée du "vaisseau" qui a transporté les "Nommo" à partir de leur lointaine planète. Ils en décrivent parfaitement l'atterrissage, faisant trembler le sol dans un bruit assourdissant, et soulevant des nuées de poussières dans le ciel. De nos jours, nous savons qu'il s'agit bien là des caractéristiques d'un atterrissage, mais comment les Dogons peuvent-ils le savoir depuis toujours, sinon par la transmission d'un évènement vécu...
De nos jours, nous ne savons toujours pas si une troisième étoile Sirius existe réellement, et encore moins si une planète habitée figure dans sons orbite.
Quelques astronomes commencent à soupçonner qu'il puisse effectivement exister une étoile "Sirius C" tournant autour de Sirius A.
[...] Force est d'admettre que la très grande connaissance astronomique des Dogons interpelle. Ainsi ils savent depuis toujours que la Voie lactée est animée d'une mouvement en spirale, auquel participe notre système solaire...
[...] Le savoir aussi ancien, étendu et précis des Dogons ne peut pas s'expliquer de manière rationnelle....

Géographiquement, l'Antarctique s'est détaché de la Pangée il y a plus de 200 millions d'années, mais n'a atteint sa formation actuelle que depuis environ 25 millions d'années.
Durant le Cambrien (entre -541 et -530 millions d'années), la partie Ouest du Gondwana (dont une partie deviendra plus tard l'Antarctique), est située en partie dans l'hémisphère nord, et accuse un climat tempéré. L'Est du territoire se trouve au niveau de l'équateur, avec un climat beaucoup plus chaud.
Au début du Dévonien (de -416 millions d'années à -359 millions d'années), le Gondwana se situe à des latitudes plus méridionales avec un climat plus frais.
La glaciation du continent va commencer à la fin du Dévonien (vers -359 millions d'années), alors que le Gondwana s'est déplacé autour du pôle Sud.
Un réchauffement vers la fin du Permien va conduire à un climat chaud et sec dans une grande partie du Gondwana. Ce réchauffement entraine une fonte de la calotte glaciaire, et une grande partie du supercontinent devient un désert.
Il faudra attendre le Jurassique (de -203 à -145 millions d'années) pour que le Gondwana commence à se disloquer, et que l'Antarctique commence véritablement à se former. La végétation est alors abondante, et les forêts dominent largement la partie occidentale.
Il y a environ de 65 millions d'années, l'Antarctique est encore relié à l'Australie, et jouit d'un climat tropical voire subtropical, avec une flore et une faune florissante. Vers -40 millions d'années, une nouvelle fracture va séparer l'Australie et la Nouvelle-Guinée de l'Antarctique. Le déplacement du continent vers le sud va s'accompagner d'un refroidissement général, avec le début de la glaciation. Vers -23 millions d'années, un passage s'ouvre entre l'Antarctique et l'Amérique du Sud, et finit d'isoler le continent. La calotte glacière gagne peu à peu du terrain, les forêts disparaissent. La calotte va atteindre sa configuration actuelle vers -6 millions d'années environs.
L'Antarctique n'a donc pas toujours été un désert de glace, elle a été longtemps couverte de forêts tropicales luxuriantes, et a peut-être abrité une population indigène, et pourquoi pas, civilisée.
Nous ignorons tout, de ce qui peut être enfoui sous la glace, et attend d'être révélé.
(p.156)

La vie serait apparue, on ne sait trop comment, tout d'abord dans les océans. Il ne s'agissait au départ que de traces de vie unicellulaire, puis des bactéries et des structures plus complexes vont apparaitre...
L'évolution de la vie va progressivement s’accélérer, se multiplier, et les formes nouvelles vont s'enchaîner.
Des organismes avec un corps mou et sans squelette font leur apparition. Quelques centaines de millions d'années plus tard, c'est au tour des premiers vertébrés de coloniser les océans. Apparaissent ensuite les premières plantes, essentiellement des mousses et des lichens.
Il faudra attendre - 410 millions d'années, pour observer les premiers animaux, qui ne sont en fait que des insectes. Puis vers - 360 millions d'années, les premiers animaux quittent les océans pour se déplacer sur la terre ferme.
Les premiers dinosaures vont faire leur apparition, puis dominer progressivement la terre pendant plus de d160 millions d'années, avant de disparaitre.
En ce temps-là, tous les continents sont encore réunis en un seul, la Pangée. Vers - 200 millions d'années, la masse continentale va commencer à se briser, les continents se séparent progressivement les uns des autres. C'est vers cette époque qu'apparaissent les mammifères, de petite taille tout d'abord, caractérisés essentiellement par leur sang chaud. Ils vont se multiplier et se répandre progressivement pour occuper toutes les niches écologiques.
Vient le tour des premiers primates, minuscules au départ, ils vont évoluer à leur tour et se diversifier.
Quand à l'homme, sa séparation avec les grands singes africains daterait, toujours selon la version officielle de 6 à 7, voire 8 millions d'années.

[...] Bien qu'elle soit largement admise, cette théorie n'en demeure pas moins une hypothèse.

(p.49)

Comment est apparue la vie ?
Si l'on se réfère à la théorie scientifique officielle, celle-ci serait apparue par hasard, à partir de ce qui est généralement décrit comme une soupe primordiale. Ainsi, les molécules inanimées du milieu primordial, se seraient regroupées et complexifiées, puis se seraient animées sous l'effet de décharges électriques produites par la foudre... Enfin, à l'issue d'un long et mystérieux processus seraient apparus les premiers micro-organismes.
Par le jeu de l'évolution et de la sélection naturelle, la vie aurait peu à peu évolué vers des organismes de plus en plus complexes... Les bactéries, puis les molécules auraient muté pour donner naissance aux premiers êtres vivants et par le jeu du schéma évolutionniste, seraient apparus les poissons, les reptiles, les mammifères... jusqu'à l'homme lui-même.
[ ... ] Aujourd'hui le darwinismes s'impose toujours dans ses grandes lignes, et s'adapte au fur et à mesure des nouvelles découvertes scientifiques... Même s'il existe de nombreuses failles et lacunes.
L'une de ces failles, et non des moindres est la suivante : En toute logique, si l'on admet que le déroulement de l'évolution a été très lent et progressif, on devrait pouvoir découvrir toutes les formes intermédiaires du chainon évolution. Nous savons pourtant que ce n'est pas le cas, et ce n'est pas faute d'avoir cherché... Cette absence constitue donc un mystère aux yeux des défenseurs du darwinisme, et explique pourquoi certains scientifiques envisagent d'autres pistes pour expliquer cette anomalie.
[...] Cette absence de maillons intermédiaires perturbe beaucoup les paléontologues, et certains par le passé, se sont discrédités en allant jusqu'à "fabriquer" des faux grossiers, pour donner crédit au schéma de l'évolution.

Nous ne savons pas grand-chose du monde dans lequel nous vivons, et ce que l'on sait est sujet à caution, même si pour la science officielle, tout est limpide.
On nous dit :
Que l'Univers est né d'un Big Bang
Qu'il date de près de 14 milliards d'années
Que la vie sur Terre est une exception
Qu'elle est apparue par hasard
Que l'homme descend du singe
Que l'homme moderne a 200 000 ans
Que la première civilisation a 8 000 ans

[...] Les plus anciennes étoiles de la Galaxie sont presque aussi âgées que l'Univers lui-même. L'âge de la plus vieille étoile de la Voie lactée, est estimé à 13,2 milliards d'années.

[...] Notre système solaire possède un rayon d'environ une année-lumière, et il est inclus au sein d'une structure infiniment plus vaste, la Galaxie, aussi appelée "Voie Lactée". Notre système solaire se situe en fait à la périphérie de la Galaxie, à plus de 27 000 années-lumière de son centre.
[...] L'amas dans lequel se situe notre galaxie est appelé Groupe local, et renferme près de 60 galaxies.

[...] On appelle Univers observable, tout simplement ce qui peut être observé depuis la Terre, et qui ne représente qu'une partie de l'Univers réel. Sachant que du fait de l’expansion, chaque jour, des galaxies disparaissent de notre vue pour s'évaporer dans l'univers inobservable.