L'Aventuriste

J'étais persuadée que j'allais aimer. La quatrième de couverture était prometteuse, mais.... le manque de style et les dialogues trop pauvres ne m'ont pas permis d'apprécier ce livre. J'ai dû m'accrocher pour ne pas laisser tomber sans pour cela arriver à m'intéresser au destin de ce personnage avec lequel je n'ai eu aucune empathie. Il m'a semblé qu'il enfonçait beaucoup de portes ouvertes et j'ai été ravie d'arriver au bout du voyage pour le quitter.

Très déçue par ce roman dont j'attendais des réflexions sur le monde du travail notamment américain.
Rien à dire sur la construction du récit et l'intrigue qui nous portent à continuer la lecture. Malheureusement je me suis lassée ensuite car il n'y a aucune profondeur derrière les faits décrits et les quelques introspections du narrateur sonnent creux. J'ai recherché en vain un développement au dénouement.
Le style est d'une grand indigence : très longs et ennuyeux dialogues d'une grande banalité ; pauvreté du vocabulaire. Il faut de la ténacité pour arriver à la derrière page.

Dimanche #procrastination 📖 : sombre et haletant voyage métaphysique dans un quartier d'affaire aseptisé du sud des Etats-Unis. Jeune ingénieur planplan, Henry Hurt voit sa morne existence dérailler sous la pression insidieuse de ses actionnaires. L'Américain s'improvise alors AVENTURISTE et multiplie déclarations à l'emporte-pièce et décisions pyromanes... Mais l'aventuriste est-il seulement aventurier ? À offrir si s'amorce une crise existentielle.