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4,37

sur 1853 notes
Et comme toujours, le titre ne se justifie que dans les dernières pages. La dernière phrase m'a fait bien rire, je l'attendais depuis longtemps. Je savais qu'il n'avait pas dit son dernier mot. Formidable, l'aventure sans lui n'avait pas la même saveur. Je suis contente, ce tome 12 devrait être palpitant. Certains personnages m'agacent profondément. le pauvre Fitz, tout se retourne contre lui, à vouloir épargner tous ceux qu'il aime, il se retrouve seul. Il esquive les mains qu'on lui tend, on ne sait pourquoi et je pense que lui non plus.
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La première chose qu'il me vient à l'esprit quand je pense à ce tome c'est que Robin Hobb est vraiment très forte. La dernière phrase de ce tome n'est composée que de 4 mots mais pourtant elle n'incite qu'à une seule et unique chose : se jeter rapidement sur la suite. Je me doutais bien que l'auteur prévoyait quelque chose pour le Fou mais je n'aurais jamais imaginé cela. Une belle surprise que celle que nous a réservée ici l'auteure.

Comme pour les autres tomes, celui-ci c'est lu vite et bien et on arrive presque trop vite à la fin, à 2 tomes de la fin de cette saga j'étais lors de ma lecture de plus en plus curieux sur le dénouement de celle-ci et sur l'avenir de tous les personnages de cette belle saga : le personnage de Lourd qui souffre au cours de ce voyage et en tient rancoeur à Fitz, le prince Devoir de moins en moins prince et de plus en plus roi, le vieil Umbre, Ortie qui devrait bientôt connaître sa véritable identité, celle du Fou dont l'avenir semble sombre et tant d'autres d'encore.

J'étais curieux en effet me posant de nombreuses questions sur l'avenir de ces personnages auxquels je me suis attaché : quels choix sera contraint de prendre Fitz, les prédictions du Fou vont-elles se réaliser et qu'elles en seront alors les conséquences ? Autant dire que je n'ai pas trop tardé suite à ma lecture pour entamer l'avant dernier tome.
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Ce tome est l'introduction à une nouvelle aventure.
Fitz, Umbre, le prince Devoir, Lourd, Trame, Leste en sont les principaux protagonistes. Départ pour les îles outriliennes, préparatifs en tout genre, découverte d'autres cultures...
L'action n'est pas vraiment au rendez-vous dans cette histoire.
Mais attention à la suite, je crois que cela promet d'être mouvementé...
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) Tome onze dans lequel on retrouve ,le grand air (un peu froid , tout de même) et les dragons . Comme un vulgaire héros de conte de fée voilà que le prince Devoir doit rapporter à sa future la tête d'un dragon noir nommé oxymoriquement Glasfeu ( C'est plus original qu'un bouquet ou une ménagère en argent) . Celui-ci est au congélateur (l'île d'Aslevjal) mais pour autant la tache parait bien compliquée voire même à prohiber d'après le Fou-Prophète . Bref qui va encore faire le sale boulot pour dénouer tout cela ? Devinez ?
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Et voilà que débute réellement le voyage pour trouver Glasfeu, le dragon dont le prince Devoir va devoir trancher la tête !



Jusqu'ici, tout les éléments ont été mis en place, au sein d'autres intrigues, souvent plaisante par ailleurs. Mais voici le moment où ils vont tous se retrouver, pour entamer le périple. Ce toma constitue donc la premiére partie du voyage. le prince va se rendre en Terres Outriliennes. Mais cette route ne va déjà pas être simple, Lourd ayant le mal de mer. Des petits désagrément qui, dans l'univers mis en place par Robin Hobb, prennent vite des proportions franchement gênante pour nos héros. Ainsi, on a de nouveau droit à un tome rythmé et prenant qui ne donne qu'une envie une fois la derniére page tournée : lire rapidement la suite !
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En bref, je suis ravie d'avoir enfin pu replonger dans cette saga que j'apprécie énormément.
Ce tome de transition nous mène vers la dernière bataille de la saga et annonce une fin que je ne suis pas encore prête à accepter je crois... j'ai l'impression d'avoir encore tellement de choses à vivre avec les personnages ! C'est une saga que je vous conseille fortement !
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Encore une fois, Robin Hobb nous délivre un formidable tome de transition ! Ce tome nous plonge au coeur des mystères et intrigues de Castelcerf… et de l'esprit Fitz, qui doit faire face à ses responsabilités et à ses secrets face à ses proches !

Ma relation avec le personnage de Fitz varie beaucoup en fonction des tomes depuis le début de la série, car j'ai souvent beaucoup de mal à comprendre ses choix personnels. Fitz est un personnage qui ne sait pas gérer ses relations avec les autres, car il les vit comme celle qu'un homme en marge de la société a avec les autres. Ce tome-ci remet tout cela en cause, et force notre héros à faire face à qui il est, à ses forces, ses faiblesses, et sa vulnérabilité face à l'amour qu'il peut ressentir pour d'autres personnages, ou l'amour que d'autres peuvent lui donner.

Je me demande également souvent ce qu'aurait pu donner la série si Robin Hobb avait donné une trajectoire de vie différente au personnage de Fitz, et ce tome-ci pose les mêmes bases de réflexion. Fitz doit enfin affronter le secret autour de sa naissance auprès de ses proches, ce qui donne une toute autre perspective à son avenir, et modifie assez clairement certaines de ses relations. J'ai beaucoup apprécié sa relation avec le Prince Devoir, personnage qui prend de plus en plus de majesté malgré son jeune âge; et bien évidemment, le Fou est toujours présent, et de plus en plus émouvant. Mais la scène qui m'a fait monter les larmes concerne le personnage de Burrich, et vraiment, si les choses se passent de la manière dont je pense qu'elles vont se passer, ce n'est vraiment pas gentil de la part de l'autrice !

Robin Hobb fait clairement de ce tome un tome de transition, dans le sens où l'action n'y a que peu de place, mais où les relations entre les personnages et les intrigues de cour ont la part belle. J'adore quand Fitz espionne, c'est un fait. J'aime savoir ce que chaque dialogue, chaque geste, chaque regard, signifie au niveau diplomatique pour les Loinvoyant.

Refermer ce tome m'a fait un petit pincement au coeur, car je savais que je quittais probablement définitivement le château de Castelcerf (du moins, dans le cadre de la série de L'Assassin Royal). Je suis tellement attachée à ce décor que le quitter m'a fait de la peine. J'y ai vécu tant d'aventures, repéré tant d'intrigues, mais également reçu tant d'amour et subi tant d'épreuves via le personnage de Fitz, que quitter ce décor fut difficile. Cependant, je ne doute pas que Robin Hobb saura donner à son nouveau décor la beauté qu'il mérite et qu'elle sait parfaitement mettre en oeuvre !

Il me tarde maintenant de découvrir le tome 12 de la série, qui signe l'avant-dernier tome… Est-ce que je suis prête à dire au revoir à cette série ? Clairement pas, mais je n'ai pas le choix que de m'y préparer…
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Voici donc Fitz lancé dans une course contre la montre. Il doit, du mieux possible, préparer le clan des artiseurs. Pour protéger le Prince durant le voyage, ô combien dangereux, que ce dernier s'est engagé à faire pour prouver à la Narcheska, sa future femme, qu'il est digne de l'épouser. Et ce n'est pas une mince affaire. Non seulement, Fitz ne sait que partiellement ce qu'il fait, après tout, il n'a jamais bénéficié d'une formation d'Art digne de ce nom, mais en plus il doit faire face à une relative incompétence d'Umbre, dont la motivation n'équivaut en rien son talent, à une puissance incontrôlée de Lourd, le simple d'esprit, et à une position peu évidente à tenir face au Prince. Qui perce, doucement, ses secrets. Ajoutons à cela un manque de temps. Et une quantité trop importante de soucis annexes. Car, et c'est heureux, Fitz a une vie, avec tout ce que cela comporte, à côté de son rôle d'assassin. Enfin presque.

Toujours les mêmes ingrédients dans ce onzième tome. Et ça fonctionne encore. Bien entendu, et comme pour les précédents livres, il ne faut pas s'attendre à d'épiques combats. Sanglants et magiques. Non. Ici, nous sommes dans les complots. Dans la manipulation. Dans la clandestinité. Dans un univers où la tête compte finalement plus que les muscles. Chaque personnage joue un rôle. Chaque personnage possède sa part de mystère. Son identité. Ses secrets. Et ils doivent s'en accommoder. Agir en conséquence. Avec intelligence. Dans un unique but. Préserver la couronne et les Six-Duchés des menaces qui sont là, tapies dans les coins et recoins de Castelcerf.

Ce qui est appréciable dans ce tome ce sont les secrets qui se transforment. Certains, vieux de plusieurs livres, commencent à s'effriter. de nouveaux apparaissent. Aussi potentiellement mortels. Et Hobb parvient toujours à surprendre. Malgré des ficelles et une recette maîtrisées. Les principaux protagonistes quant à eux grandissent et évoluent. Comme Umbre qui montre un côté sombre que l'on pensait avant tout dirigé vers les ennemis de la couronne. Jamais dans le but d'éventuellement assouvir ses ambitions. Devoir, du haut de son adolescence, se rapproche de l'homme qu'il deviendra. le Fou devient une ombre dont le rôle n'est pas bien défini. Mais il est toujours là. Les nouvelles têtes prennent également un peu d'épaisseur et commencent à appréciablement remplacer les disparus. Ce qui permet aux lecteurs d'encore plus s'immerger dans le récit. Et d'éviter de tourner en rond.

L'histoire, quant à elle, suit simplement son cours. Logiquement. On vit le voyage, long, de la suite royale. On vit les leçons d'Art. On ressent les doutes, les vides de Fitz. Qui reste pareil à lui-même. Angoissé mais enfermé dans un rôle qu'il n'a pas choisi mais qu'il se refuse à quitter. Loyal jusqu'à en être pathétique. C'est ce qui fait son charme. Ce qui fait qu'on s'y attache. Dans mon cas. L'histoire donc. Elle progresse doucement et nous quittons, pour quelques temps, Castelcerf et ses environs. Nous passons du temps en mer. Et chez les ennemis d'hier. Ces Outrîliens qui ne savent pas s'ils veulent la paix et la prospérité ou s'ils souhaitent reprendre les armes. Peuple de guerriers qu'il est. C'est à une étrange danse que nous invite Hobb. Entre faux semblants et jeux de cache-cache, elle nous emmène encore avec elle dans son aventure mystique et mystérieuse. Par delà les mers et les glaces. Et on la suit. Presque avidement.
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En attente de la traduction française, j'avais interrompu la lecture de l'excellente saga “L'assassin royal”. Quinze ans plus tard j'ai pris plaisir à renouer avec Fitz et son entourage même si j'ai ramé pour me remettre dans le contexte. Caché sous le personnage de Tom Blaireau, un garde de la suite royale, Fitz doit maintenant protéger le prince Devoir tout en maternant Lourd, un déficient intellectuel doté d'une grande puissance d'Art. Il n'y a vraiment pas beaucoup d'action dans cet épisode plutôt consacré aux doutes et préoccupations de Fitz, tiraillé entre son devoir envers la Couronne et ses inquiétudes concernant ses vieux amis et sa fille. Les amateurs de questionnements existentiels et de stratégies politiques complexes seront ravis. Ceux qui ne carburent qu'à l'action trépidante seront déçus. Comme j'aime les deux...
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Un excellent tome, bien plus captivant que le tome précédent, en effet l'histoire bouge enfin et certains points se révèlent tout doucement. Et un gros plus, pour la fin du tome qui nous promet une suite tout aussi génial.
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