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4,37

sur 1814 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La première chose qu'il me vient à l'esprit quand je pense à ce tome c'est que Robin Hobb est vraiment très forte. La dernière phrase de ce tome n'est composée que de 4 mots mais pourtant elle n'incite qu'à une seule et unique chose : se jeter rapidement sur la suite. Je me doutais bien que l'auteur prévoyait quelque chose pour le Fou mais je n'aurais jamais imaginé cela. Une belle surprise que celle que nous a réservée ici l'auteure.

Comme pour les autres tomes, celui-ci c'est lu vite et bien et on arrive presque trop vite à la fin, à 2 tomes de la fin de cette saga j'étais lors de ma lecture de plus en plus curieux sur le dénouement de celle-ci et sur l'avenir de tous les personnages de cette belle saga : le personnage de Lourd qui souffre au cours de ce voyage et en tient rancoeur à Fitz, le prince Devoir de moins en moins prince et de plus en plus roi, le vieil Umbre, Ortie qui devrait bientôt connaître sa véritable identité, celle du Fou dont l'avenir semble sombre et tant d'autres d'encore.

J'étais curieux en effet me posant de nombreuses questions sur l'avenir de ces personnages auxquels je me suis attaché : quels choix sera contraint de prendre Fitz, les prédictions du Fou vont-elles se réaliser et qu'elles en seront alors les conséquences ? Autant dire que je n'ai pas trop tardé suite à ma lecture pour entamer l'avant dernier tome.
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Enfin! Après 2 tomes de tergiversations, Devoir et son clan d'art prend enfin la route des îles outriliennes pour que le prince puisse tenir sa promesse et épouser la narcheska. Ça promet donc de l'action, des batailles, des rebondissements...ou pas. C'est sûr qu'avec Fitz on voit du pays, on rencontre plein de gens, on découvre de nouvelles cultures, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie. Les voyages en bateau c'est sympa, un ça va, trois bonjour les dégâts. Robin Hobb aurait pu avoir le bon sens de nous les épargner surtout qu'ils n'apportent pas grand chose au récit et sont très très répétitifs. J'ai de plus en plus de mal avec le personnage de Lourd (qui porte bien son nom) et qui enchaine le pauvre Fitz à un rôle de garde malade. Les passages avec Ortie ont réveillé mon intérêt et j'espère que son personnage va prendre plus d'importance par la suite. Ce deuxième cycle n'est décidément pas à la hauteur du premier. Je croise les doigts pour que les 2 derniers tomes vaillent toute cette attente et qu'on ait enfin un peu d'action. Pitié!
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Ce tome est plus lent que les autres sans compter le tome 7.
Nous découvrons la nation de la Narcheska du coup ce tome reste très contemplatif et est fourni en description sur le peuple outrîlien.

Nous découvrons des anecdotes outrîliennes à certain début de chapitre. J'apprécie vraiment ce point car Robin Hobb développe bien les différentes nations qui existent dans son univers.
La légende de El et de Eda m'a particulièrement plu et explique bien le comportement des Outrîliens : les femmes sur les terres et les hommes en mer.

Mais certains évènements pimentent le tome :


Trame est toujours un personnage mystérieux. J'espère que par son biais nous allons découvrir l'étendue du pouvoir du Lignage !
On en a eu un petit aperçu avec Leste !

Mais surtout :
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Wouhou ! Ca y est, c'est parti pour un dernier tour et on le sent bien ! Alors qu'il ne reste plus que trois tomes en comptant celui-ci, nous assistons à l'embarquement du prince Devoir, de son clan d'Art et d'une délégation des Six-Duchés, à la rencontre des Outrîliens.


Ce sera également l'occasion pour le prince Devoir de reprendre contact avec la Narcheska qui lui est promise. On assiste avec un certain plaisir à l'évolution (plutôt positive) de leur relation, mais de nombreuses questions restent en suspens en ce qui concerne l'entourage et le comportement des outriliens. Simple différence culturelle, ou complot qui se trame ? Umbre et Fitz montrent les crocs, mais toujours en toute discrétion. Bref, un tome qui renoue avec une intrigue aux petits oignons et des personnages qui évoluent, avant un twist final de toute beauté : du grand Robin Hobb !
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Un tome charnière dans le cycle des aventures de Fitz : beaucoup de longueurs et de moments de mise en place, mais on pardonne car les personnages sont là, et bien là ! Quelques révélations, quelques beaux passages descriptifs de la vie chez les outriliens, et un final qui nous tient en haleine comme Mme Hobb en a le secret. Plus que 2 tomes !!!!
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Encore une fois, Robin Hobb nous délivre un formidable tome de transition ! Ce tome nous plonge au coeur des mystères et intrigues de Castelcerf… et de l'esprit Fitz, qui doit faire face à ses responsabilités et à ses secrets face à ses proches !

Ma relation avec le personnage de Fitz varie beaucoup en fonction des tomes depuis le début de la série, car j'ai souvent beaucoup de mal à comprendre ses choix personnels. Fitz est un personnage qui ne sait pas gérer ses relations avec les autres, car il les vit comme celle qu'un homme en marge de la société a avec les autres. Ce tome-ci remet tout cela en cause, et force notre héros à faire face à qui il est, à ses forces, ses faiblesses, et sa vulnérabilité face à l'amour qu'il peut ressentir pour d'autres personnages, ou l'amour que d'autres peuvent lui donner.

Je me demande également souvent ce qu'aurait pu donner la série si Robin Hobb avait donné une trajectoire de vie différente au personnage de Fitz, et ce tome-ci pose les mêmes bases de réflexion. Fitz doit enfin affronter le secret autour de sa naissance auprès de ses proches, ce qui donne une toute autre perspective à son avenir, et modifie assez clairement certaines de ses relations. J'ai beaucoup apprécié sa relation avec le Prince Devoir, personnage qui prend de plus en plus de majesté malgré son jeune âge; et bien évidemment, le Fou est toujours présent, et de plus en plus émouvant. Mais la scène qui m'a fait monter les larmes concerne le personnage de Burrich, et vraiment, si les choses se passent de la manière dont je pense qu'elles vont se passer, ce n'est vraiment pas gentil de la part de l'autrice !

Robin Hobb fait clairement de ce tome un tome de transition, dans le sens où l'action n'y a que peu de place, mais où les relations entre les personnages et les intrigues de cour ont la part belle. J'adore quand Fitz espionne, c'est un fait. J'aime savoir ce que chaque dialogue, chaque geste, chaque regard, signifie au niveau diplomatique pour les Loinvoyant.

Refermer ce tome m'a fait un petit pincement au coeur, car je savais que je quittais probablement définitivement le château de Castelcerf (du moins, dans le cadre de la série de L'Assassin Royal). Je suis tellement attachée à ce décor que le quitter m'a fait de la peine. J'y ai vécu tant d'aventures, repéré tant d'intrigues, mais également reçu tant d'amour et subi tant d'épreuves via le personnage de Fitz, que quitter ce décor fut difficile. Cependant, je ne doute pas que Robin Hobb saura donner à son nouveau décor la beauté qu'il mérite et qu'elle sait parfaitement mettre en oeuvre !

Il me tarde maintenant de découvrir le tome 12 de la série, qui signe l'avant-dernier tome… Est-ce que je suis prête à dire au revoir à cette série ? Clairement pas, mais je n'ai pas le choix que de m'y préparer…
Lien : https://matoutepetiteculture..
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Voici donc Fitz lancé dans une course contre la montre. Il doit, du mieux possible, préparer le clan des artiseurs. Pour protéger le Prince durant le voyage, ô combien dangereux, que ce dernier s'est engagé à faire pour prouver à la Narcheska, sa future femme, qu'il est digne de l'épouser. Et ce n'est pas une mince affaire. Non seulement, Fitz ne sait que partiellement ce qu'il fait, après tout, il n'a jamais bénéficié d'une formation d'Art digne de ce nom, mais en plus il doit faire face à une relative incompétence d'Umbre, dont la motivation n'équivaut en rien son talent, à une puissance incontrôlée de Lourd, le simple d'esprit, et à une position peu évidente à tenir face au Prince. Qui perce, doucement, ses secrets. Ajoutons à cela un manque de temps. Et une quantité trop importante de soucis annexes. Car, et c'est heureux, Fitz a une vie, avec tout ce que cela comporte, à côté de son rôle d'assassin. Enfin presque.

Toujours les mêmes ingrédients dans ce onzième tome. Et ça fonctionne encore. Bien entendu, et comme pour les précédents livres, il ne faut pas s'attendre à d'épiques combats. Sanglants et magiques. Non. Ici, nous sommes dans les complots. Dans la manipulation. Dans la clandestinité. Dans un univers où la tête compte finalement plus que les muscles. Chaque personnage joue un rôle. Chaque personnage possède sa part de mystère. Son identité. Ses secrets. Et ils doivent s'en accommoder. Agir en conséquence. Avec intelligence. Dans un unique but. Préserver la couronne et les Six-Duchés des menaces qui sont là, tapies dans les coins et recoins de Castelcerf.

Ce qui est appréciable dans ce tome ce sont les secrets qui se transforment. Certains, vieux de plusieurs livres, commencent à s'effriter. de nouveaux apparaissent. Aussi potentiellement mortels. Et Hobb parvient toujours à surprendre. Malgré des ficelles et une recette maîtrisées. Les principaux protagonistes quant à eux grandissent et évoluent. Comme Umbre qui montre un côté sombre que l'on pensait avant tout dirigé vers les ennemis de la couronne. Jamais dans le but d'éventuellement assouvir ses ambitions. Devoir, du haut de son adolescence, se rapproche de l'homme qu'il deviendra. le Fou devient une ombre dont le rôle n'est pas bien défini. Mais il est toujours là. Les nouvelles têtes prennent également un peu d'épaisseur et commencent à appréciablement remplacer les disparus. Ce qui permet aux lecteurs d'encore plus s'immerger dans le récit. Et d'éviter de tourner en rond.

L'histoire, quant à elle, suit simplement son cours. Logiquement. On vit le voyage, long, de la suite royale. On vit les leçons d'Art. On ressent les doutes, les vides de Fitz. Qui reste pareil à lui-même. Angoissé mais enfermé dans un rôle qu'il n'a pas choisi mais qu'il se refuse à quitter. Loyal jusqu'à en être pathétique. C'est ce qui fait son charme. Ce qui fait qu'on s'y attache. Dans mon cas. L'histoire donc. Elle progresse doucement et nous quittons, pour quelques temps, Castelcerf et ses environs. Nous passons du temps en mer. Et chez les ennemis d'hier. Ces Outrîliens qui ne savent pas s'ils veulent la paix et la prospérité ou s'ils souhaitent reprendre les armes. Peuple de guerriers qu'il est. C'est à une étrange danse que nous invite Hobb. Entre faux semblants et jeux de cache-cache, elle nous emmène encore avec elle dans son aventure mystique et mystérieuse. Par delà les mers et les glaces. Et on la suit. Presque avidement.
Lien : https://unecertaineculture.w..
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Un tome un peu en-dessous des précédents, dans lequel je regrette le manque d'action et l'absence du Fou. Mais des points positifs également, comme l'approfondissement des personnages d'Ortie et de Lourd (et de leur relation avec Fitz), une découverte de la culture outrilienne, et une nouvelle remise en question pour Fitz. Et surtout, une fin en cliffhanger qui nous pousse à enchaîner directement avec le tome 12 !
Lien : http://lecturestrollesques.b..
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Fitz Chevalerie, après une période de tranquille retraite, est à nouveau sollicité par la couronne.
Loin des complots et assassinats de sa jeunesse, on requiert cette fois ses qualités de professeur pour enseigner au jeune prince la magie des Loinvoyant dont il est le dernier dépositaire. Au delà de cette magie, Fitz tiendra un rôle important auprès du jeune homme : conseiller, professeur, ami, confident et garde du corps...
On retrouve Fitz isolé, apaisé après quelques années de repos bien mérité.
C'est bien à regret mais par nécessité qu'il retourne au château de Castelcerf sous le déguisement d'un serviteur.
Ce retour à la cour va le mettre face à ses vieux démons et mensonges : le Vif, qui peu à peu est reconnu comme une magie tolérable, ses origines royales, son ancien amour et sa fille qui ignore son existence...

Lien : http://www.perdreuneplume.br..
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) Tome onze dans lequel on retrouve ,le grand air (un peu froid , tout de même) et les dragons . Comme un vulgaire héros de conte de fée voilà que le prince Devoir doit rapporter à sa future la tête d'un dragon noir nommé oxymoriquement Glasfeu ( C'est plus original qu'un bouquet ou une ménagère en argent) . Celui-ci est au congélateur (l'île d'Aslevjal) mais pour autant la tache parait bien compliquée voire même à prohiber d'après le Fou-Prophète . Bref qui va encore faire le sale boulot pour dénouer tout cela ? Devinez ?
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