Les Aventuriers de la mer, Tome 8 : Ombres et flammes

On commence à retrouver l'espoir dans de 8ème tome. Les personnages ont évolué depuis leurs premières rencontres, les secrets se révèlent au fur et à mesure, même si on s'en doutait depuis un moment concernant Kennit. La tension monte, on sent que Robin Hobb nous réserve quelque chose de grand pour terminer cette impressionnante saga d'aventure. Je suis scotché, et la tension ne baisse jamais d'un cran, c'est soutenu du début à la fin, difficile de reprendre son souffle, quel rythme !

Mais quel tome !!
J'en suis toute retournée !
La fin se profile bien évidemment, les personnages nous apparaissent plus clairement !
J'espère pouvoir lire la suite et fin TRÈS rapidement

L'avant dernier tome de la sage, et le suspens est au sommet de sa gloire!
Comment tout peux finir? Tellement de possibilités, que réservera le Destin à nos héros favoris? Althea si proche de retrouver Vivacia, Malta qui continue à m'étonner et à murir (c'était déjà incroyable son ascension des derniers tomes, je pense bien qu'elle est ma favorite), Hiemain égal à lui même suivant aveuglement Kennit qui poursuit follement le tracé de son Destin et de sa Chance, Foudre qui continue de nier Vivacia en elle, Terilville et le Desert des pluies qui se relève avec Tintaglia... A la fin de ce roman, je me suis directement plongée dans le dernier tome, impossible d'attendre pour connaître le fin mot de l'histoire!

)Avec ce huitième roman de la série nous approchons du dénouement :certes il y a pas mal d'action mais c'est surtout sur le plan psychologique que se jouent les destinées des personnages humains (Malta , Selden,Hiémain…). C'est aussi en partie vrai avec une psychologie différente (Quoique..) de Tintaglia la reine dragon et des Vivenefs (Vivacia/Foudre ,Parangon) . On remarque l'influence toujours plus grande des femmes ce qui n'a rien de surprenant avec Robin Hobb

Après une lecture du tome 7 un peu ennuyeuse, ce tome 8 reprend du rythme et de la vigueur! On ne sait plus où donner de la tête tant l'intrigue s'accélère. Les personnages se regroupent et la rencontre tant attendue a enfin lieu. Une confrontation courte et qui va laisser des traces chez tout le monde. Ça annonce (j'espère) un dénouement des plus spectaculaires. Un dénouement qui reste toujours assez flou. Je ne sais même pas qui j'aimerai voir survivre et à qui je ne souhaite pas du bien. Kennit que je trouvais des plus désagréables regagne un peu de sympathie suite à la révélation de son passé. Un passé que je n'avais pas du tout vu arriver. Robin Hobb a bien menée sa barque avec ce personnage (pour un roman qui se passe essentiellement en mer c'est bien normal me direz vous!). Je ne m'arrête pas là et retourne de suite à Terrilville pour une conclusion que j'espère épique.

Tintaglia, le dragon récemment libéré, prend une importance capitale dans ce huitième tome de la saga “Les aventuriers de la mer”. Non seulement prend-t-il des engagements, et en fait prendre aux gens de Terrilville, mais il entretient aussi de grands espoirs sur la survie de sa race.... de même que les serpents maintenant éveillés! Est-ce dire que les humains ont dorénavant un rôle mineur? Pas vraiment mais la multitudes d'intrigues pointent vers une finale qui s'annonce grandiose dans le prochain tome. Sur lequel je me précipite.

Avant dernier tome pour Les aventuriers de la mer. On approche donc tout doucement de la fin et ça se sent...



On retrouve donc toute la liste des personnages de la saga. Chacun va voir son histoire évoluer sensiblement et on sent que le rapprochement entre eux tous approche. Car enfin, la quête de la Vivacia touche à sa fin, que des questions vont se poser (famille de sang ? famille de coeur ?) et que des affrontements vont avoir lieu. de plus, le réveil des Dragons a maintenant eu lieu et c'est aussi le lien avec l'assassin royal qui commence tout doucement à se faire. Sans vouloir en dire trop, tout cela donne envie de lire la suite tant ce récit est rythmé et fais progresser son intrigue vers le final tant attendue. Les 377 pages se dévorent et on en sort avec l'envie de lire la suite au plus vite !

Et bien et bien, que d'émotions, que d'aventures… et que d'attentes pour la fin de la série ! Ce tome 8 fut une lecture particulièrement savoureuse, et je n'avais qu'une seule envie en le refermant : me jeter sur la suite !

Dans ce tome, Robin Hobb a parfaitement mis en place les éléments qui vont amener la fin de la série. C'est un tome de transmission parfait dans ce sens, car il ouvre la voie à la fin de la série, et à un dénouement vraiment spectaculaire. Mais pas que…! Car la force du livre, c'est également de nous donner des réponses quant à l'évolution de certaines situations, notamment politiques; on sent donc que certains personnages seront peu présents dans le dernier tome.

Comme à chaque fois (je me répète à force), j'ai adoré retrouver cette galerie de personnages auxquels je me suis tant attachés au fil des livres. Robin Hobb s'attache en plus à leur donner un effet miroir, et à comparer leur personnalité et leur situation dans ce tome-ci par rapport au premier tome. C'est là qu'on réalise à quel point l'histoire a été riche en rebondissements et en émotions !

Comme à chaque fois, l'autrice nous propose un tome riche en action, avec des affrontements épiques qui marquent clairement un gros écart avec le début de la série qui était plus doux et moins violent. On sent que l'autrice arrive à la fin de son histoire, elle ne développe plus de nouvelles intrigues, elle commence à clôturer ce qu'elle doit terminer, à ma plus grande joie ! Et même si on sent quelques rebondissements finaux venir, il est impossible de savoir comment va se terminer cette série en terminant ce tome…! D'autant que la fin est terrible, donnant envie de se jeter sur la suite !

Je peux d'ores et déjà vous dire que j'ai mis une semaine avant de me jeter sur la fin de la série, car je ne pouvais clairement pas attendre plus longtemps avant d'avoir le dénouement…!
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Cet avant-dernier tome est celui où les marchands tentent de reprendre leur destinée en main, mais surtout celui de la rencontre entre les deux Vivenefs, Vivacia et Parangon, un grand moment de tensions digne d'une scène de cinéma.
A Terrilville, le port d'attache, les cartes sont rebattues. L'ancien équilibre rompu pousse les différents clans en dehors de leur zone de confort et les incite à initier des négociations avec des partenaires disons… inhabituels. La scène de négociations avec Tintaglia, la dragonne, valent le détour.
Mais ce sont finalement les moments maritimes que j'ai préférés. Où l'on comprend un peu mieux la nature du pirate Kennit et de son lien avec les vivenefs, tandis que se dévoilent en filigrane les épreuves traversées par Paragon. Les pages filaient à toute allure, très prenant et sans aucun temps mort, j'ai dévoré ce tome sans trop le savourer, puis me suis empressée de me jeter sur le dernier tome Parangon finissant en morceaux.

et je les enchaîne, encore un excellent tome, ces derniers tomes sont un pur régal, les événements s'accélèrent, les intrigues se bousculent, c'est vraiment palpitant, même si parfois on peut avoir l'impression que l'auteure en rajoute pour reculer l'échéance, ça reste une super lecture.
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