Quand d'autres hommes peuplaient la Terre : Nouveaux regards sur nos origines

Des paleoanthropologues américain ont publié en 1997 un article remarqué selon lequel le poids moyen d'un neandertalien était supérieur de 30 % à celui d'un homme actuel ,avec 76kg contre 58,2 kg de masse maigre.

Le climat chaud actuel est exceptionnel,puisque nos régions ont été plus froides durant 95% du dernier demi-million d'années.

Dabors, qu'est-ce que l'Europe ? Non pas un véritable continent au sens géographique du terme, mais une immense péninsule à l'ouest de l'Eurasie .

L'homme ne descend pas du singe. L'homme est un singe parmis d'autres ! Nous savons même où le situer dans l'infra-ordre des singes : du côté des gorilles et des chimpanzés.

Un article paru en avril 1998 suggère que les neandertaliens développaient un moment de force supérieure de 11% au notre au niveau du genou,de 22% à 41% au niveau des chevilles, et de 49% à 100 % au niveau de la voûte plantaire.

Le cerveau humain ne se contente pas d'être gros, il consomme énormément d'énergie.

La divergence entre l'homme et les chimpanzés ou la différence entre l'homme et le couple chimpanzés-gorilles ,ne date que de 7 millions d'années environ-

La génétique et la paléontologie ont révélé depuis une réalité bien pire que ce qui choquait chez Darwin. L'homme ne descend pas du singe. L'homme est un singe parmi d'autres !

Récapitulons. L'homme est sorti d'Afrique au moins à deux reprises, sans doute trois, peut-être quatre ou cinq.
Homo erectus ou un autre Homo primitif s'est aventuré le premier hors du continent africain voici près de deux millions d'années et a colonisé le sud de l'Eurasie. Ses descendants immédiats sont connus en Géorgie vers 1,8 million d'années, en Extrême-Orient dès 1,6 million d'années, en Europe occidentale il y a au moins 1,2 million d'années.
Beaucoup plus tard, voici environ 600.000 ans, des fossiles découverts dans le sud de l'Europe et en Afrique représentent les ancêtres communs des néandenaliens et des Homo sapiens. La découverte de spécimens proches des Homo rhodesiensis africains — non seulement en Europe, mais aussi en Inde et en Chine vers 200 000 ans - témoigne peut-être d'une deuxième sortie d'Afrique.
Deux autres sorties du continent africain sont incontestables. La première est l'incursion des hommes modernes au Proche-Orient peut-être dès 130.000 ans (fossiles de Skhûl et Qafzeh). Que sont devenus les descendants des hommes modernes de Qafzeh et de Skhûl ? Ont-ils disparu ? Sont-ils retournés en Afrique ? Ont-ils survécu dans des régions proches qui n'ont pas encore livré de fossiles, comme la péninsule arabique ? Si la présence de l'homme en Australie se confirme dès 60 000 ans, ces hommes pourraient avoir été les premiers jalons d'un peuplement moderne ancien de l'Asie du Sud.
Enfin se produisit la « grande » sortie d'Afrique, celle, bien documentée, qui conduisit à partir de 50 000 ans à la colonisation en direction du nord de l'Eurasie et plus tard des Amériques.