L'énorme partie philosophique qui compose le premier quart de ce tome est particulièrement ardue à lire pour le simple lecteur de roman que je suis, et pas particulièrement transcendante (du moins de nos jours). Je n'ai jamais compris pourquoi Hugo avait ainsi plombé Les Misérables au début du 3e tome (ça doit avoir un rapport avec son suuuper pote Le Petit).
Je pense qu'on peut la sauter sans trop de gêne dans l'histoire.
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