Il faut en effet avoir lu, écouté, regardé cette auteure pour deviner toute la torture intellectuelle qu'auront certains pour parler, écrire sur les brièvetés savoureuses de
Iocasta Huppen.
Soleil de printemps naissant avec son cerf-volant d'avril, l'auteure traverse le temps en robe d'été et chapeau d'homme… s'émanciper. Elle joue avec les mots, les culbute, joue de leur ombre, usant subtilement de leurs sous-entendus.
Décoiffée, déchaussée, soupesée…
Iocasta Huppen nous invite à découvrir ses poèmes brefs à l'humour pétillant et à l'ironie non-acerbe.
À quelques jours de la nouvelle année, j'écris ces quelques lignes un regard posé sur la place Fernand Cocq à Ixelles.
Soleil de décembre –
de la fiente du pigeon
un peu de vapeur
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