Citations sur Ce qui nous consume, tome 2 : Fashion Week de Londres (9)
La connexion qui existe entre nous est indéniable. Je ne sais pas jusqu'où elle va, mais je brûle de le découvrir.
« – D’accord. Quant à moi, je ne crains pas un instant de m’ennuyer avec toi, Ophélie. Ma vie n’a jamais été aussi palpitante que depuis que tu y es entrée. Tout ce qui gravite autour de toi est un divertissement. Ton rire, ton charme, ton humour. Je ne le comprends qu’une fois sur dix, mais ça me suffit pour l’adorer. »
Evan Linvingstone est un rail de cocaïne d’un mètre quatre-vingt-dix. J’ai essayé de me sevrer, j’ai échoué. Est-ce que pour ça que je tremble de la tête aux pieds ? Que j’ai de la fièvre ? L’impression de tourner de l’œil ?
L’idée même de te décevoir m’est indispensable alors, crois-moi, je vais tout donner pour te rendre fière de moi.
J'ai essayé de tirer un trait sur ce que je ressens. je n'y suis pas arrivée. J'ai Evan dans la peau. Le besoin de redécouvrir son sourire et d'en apprendre plus sur lui me hante. Je veux sentir son regard se poser sur moi avec intérêt, pas avec rancoeur. Et pour ça, il faut que je lui parle.
Mais ce n'est pas le noeud du problème. J'avais peur de me retrouver confronté à toi, Ophélie. Les émotions, c'est pas mon truc. Je suis terrifié à l'idée de perdre le contrôle.
Je n'ai pas envie de perdre. Juste... je ne sais pas comment faire. On ne réfléchit pas de la même manière, toi et moi. On ne se comprends pas, Ophélie.
J'aime l'émerveillement caractéristique qui l'anime chaque fois qu'elle s'imprègne de la beauté partout ou elle la trouve.
Son rire est la plus jolie mélodie que j'ai jamais entendue.