La vision que ma mère avait de l’amour m’horrifiait. C’était comme si l’amour ressemblait plus à la façon de faire bouillir un œuf qu’à la découverte d’une autre personne dont on ne supporterait pas d’être séparé. J’avais commencé à lire Baudelaire, les poètes romantiques et les sœurs Brontë, et j’espérais que quand je tomberais amoureuse, ce serait avec élégance.