Ce putain de sourire qu'elle m'adresse me fait immédiatement penser à cette phrase du poète américain Tommaso Ferraris. J'ai toujours trouvé que ses textes étaient nuls à chier, mais j'aimais quand Daniel me les lisait le soir au centre, ça me calmait. Celui-là disait: "Je pensais que pour la séduire, je devais la faire rire. Mais à chaque fois qu'elle riait, c'est moi qui tombait amoureux