Considéré comme le 10e ou 11e art, le tatouage a toujours eu de belles affinités avec son pote le 9e art : la bande dessinée. Alors que les autres arts frimaient au premier rang, le tatouage et la bédé faisaient les cons, ou plutôt, expérimentaient au fond de la classe, main dans la main, fesse contre fesse, près du radiateur, élargissant ainsi le cercle de leurs adeptes à coups d’inventivité visuelle.
Rien d’étonnant donc à ce que dans ce numéro Tin-Tin, gra... >Voir plus