Et cependant il n'en est pas moins vrai que c'est précisément dans nos périodes de détresse que nous prêtons le mieux l'oreille à la voix de Josephine. Les menaces qui pèsent sur nous, nous rendent alors plus calmes, plus modestes, plus dociles à sa tyrannie; nous aimons à nous rassembler, nous aimons à nous sentir coude à coude, surtout quand le sujet de nos rassemblements est complètement étranger à la terrible affaire qui nous préoccupe.