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Critique de Sasha1979
J'ai découvert cette série par hasard et entamé l'année dernière ; série qui met en scène une commissaire de police Malin Fors qui essaie d'élucider des crimes monstrueux, tout en conciliant sa vie de mère et de femme.
Contrairement à Hiver, j'ai trouvé que l'intrigue était un peu moins sordide et plus ancrée dans la réalité. Mons Kallentoft utilise un attentat à la bombe comme début d'une intrigue plus noire et inventive qu'un simple attentat terroriste.
De toute façon, avec cette vague de polars nordiques, on ne peut qu'avoir un tableau assez sombre des pays scandinaves où l'on a l'impression que des serial killers assez dérangés rodent partout. Serait-ce la société scandinave très protestante, très moraliste, pudique et introvertie qui pousserait les serial killers à sortir du bois ?
Toujours est-il qu'on a là un polar efficace, bien mené avec une héroïne attachante qui lutte aussi contre l'alcoolisme. J'ai lu les deux premiers l'un après l'autre puis j'ai fait une pause car malgré tout, les intrigues noires et sordides portent un peu sur le moral et on se met à rêver de lire du Marc Lévy !!!
J'ai vu que l'auteur est journaliste et par moment, il utilise ses personnages pour faire passer ses propres idées ou du moins, c'est l'impression que j'en ai eue. Dans Printemps, il est question de peine de mort et plus précisément d'un policier qui ôte la vie volontairement à un criminel (je n'en dis pas plus). J'ai senti des relents un peu populistes ou peut-être ne fait-il que traduire des idées populaires dans la société suédoise.
A voir, à lire !
Contrairement à Hiver, j'ai trouvé que l'intrigue était un peu moins sordide et plus ancrée dans la réalité. Mons Kallentoft utilise un attentat à la bombe comme début d'une intrigue plus noire et inventive qu'un simple attentat terroriste.
De toute façon, avec cette vague de polars nordiques, on ne peut qu'avoir un tableau assez sombre des pays scandinaves où l'on a l'impression que des serial killers assez dérangés rodent partout. Serait-ce la société scandinave très protestante, très moraliste, pudique et introvertie qui pousserait les serial killers à sortir du bois ?
Toujours est-il qu'on a là un polar efficace, bien mené avec une héroïne attachante qui lutte aussi contre l'alcoolisme. J'ai lu les deux premiers l'un après l'autre puis j'ai fait une pause car malgré tout, les intrigues noires et sordides portent un peu sur le moral et on se met à rêver de lire du Marc Lévy !!!
J'ai vu que l'auteur est journaliste et par moment, il utilise ses personnages pour faire passer ses propres idées ou du moins, c'est l'impression que j'en ai eue. Dans Printemps, il est question de peine de mort et plus précisément d'un policier qui ôte la vie volontairement à un criminel (je n'en dis pas plus). J'ai senti des relents un peu populistes ou peut-être ne fait-il que traduire des idées populaires dans la société suédoise.
A voir, à lire !
