Chi - Une vie de chat, tome 1

Une BD facile à lire et mignonne, qui plaît aux jeunes lecteurs. Sur fond humoristique, le manga raconte quand même comment un chaton perdu qui se fait enlever / recueillir par une famille et fait progressivement le deuil de la sienne...

Un livre accessible car peu de texte et le principal peut être compris grâce aux images.

La plupart des anecdotes sont cependant assez convenues et attendues (le chat ne comprend pas qu'il faut utiliser la litière, il miaule devant la gardienne alors que les chats sont interdits, a peur de l'extérieur, la famille qui l'a recueilli "provisoirement" décide évidemment de le garder...) , ce qui en fait un livre qui se destine difficilement à un public adulte / jeune adulte.

Public : Collège (et même avant), petits lecteurs

Mes petits enfants de quatre et six ans lisent, se font lire, promènent partout les albums de Chi du matin au soir, dessinent Chi, jouent à Chi...

Si les aventures de Chi ne représentent aucune surprise notable, aucune morale édifiante, aucun message ou enseignement propre à éveiller la conscience des petits, elles n'en sont pas moins appréciées par ceux-ci... et sans doute pour ces raisons même.
Les albums de Chi sont simples à comprendre, apaisants et conviennent aux plus petits comme aux jeunes lecteurs.
Le premier album peine un peu à convaincre les adultes, mais les petits l'adoptent immédiatement.

J'avais lu Chi huit en juillet et j'étais à l'affût depuis pour saisir Chi un à la bibli. le manga est en couleurs pastel et se lit dans le sens européen. C'est donc parfait pour les pépés, les mémés et les nuls. Les dessins sont simples et clairs. le scénario instructif et divertissant. le chaton perdu se retrouve dans une gentille famille qui se met en quatre pour le satisfaire. Par exemple le petit garçon dit "pipi" et le minou, qui n'est pas très fut- fut rapplique dare dare. On décide donc illico de le nommer " Pipi". Eh oui, "Chi" veut dire "Pipi"en japonais. Vous vous imaginez vous appeler votre chat "Pipi" ? : "Pipi, Pipi, Pipi !" La honte ! Alors "Chi" c'est nettement mieux. Hum, hum... Bon tout ça pour dire que Chi est le chaton-roi. le seul problème, c'est que les animaux ne sont pas autorisés dans la résidence. La gardienne veille et cela crée un suspense terrrrible...
A suivre.

J'adore, c'est toujours aussi sympa!!! C'est un jour à marquer dans les annales: Mél Ange devient addict d'un manga!!!!! ^^

On participe à l'évolution de Chi, ses aventures, ses mésaventures, ses rencontres avec d'autres chats... c'est super sympa pour une petite lecture rapide et distrayante!

Une petite chatte perd sa mère et ses frères et soeurs alors qu'ils se promenaient. Elle veut retrouver sa maison, mais elle ne sait pas où elle est. Un petit garçon la remarque et hop, voilà la bestiole recueillie par une gentille famille. le chaton veut toujours rentrer chez lui, mais entre la pluie et les chiens à l'extérieur, il a du mal à braver l'extérieur. « Ze vais me cacher ici encore un peu... » (p. 18) Baptisée Chi, la petite chatte vit toutes les premières fois d'un nouvel animal de compagnie : visite chez le vétérinaire, découverte de la litière, jeux et câlins. Mais attention, les animaux sont interdits dans l'immeuble : il va falloir être discret et ne pas se faire repérer.

Bon. C'est mignon. C'est très mignon. Trop mignon. Kawaï, comme disent les Asiatiques. de manière générale, j'ai horreur – souverainement horreur – qu'on prenne les animaux pour des êtres stupides, et donc qu'on les fasse parler ou agir comme des crétins. Bref, je vais laisser cette lecture à son public cible, à savoir les enfants, même si ça m'agace un peu qu'on leur serve du mignon couillon.

Konami Kanata nous fait rencontrer une famille japonaise qui vit dans un immeuble. Les animaux domestiques sont interdits dans les appartements (ce qui explique le succès des bars à chats). Alors quand Yohei tombe nez à nez avec un chaton fatigué, il demande à ces parents de lui venir en aide. Ils acceptent car ils se disent qu'ils trouveront quelqu'un pour l'adopter dans leur entourage. Toutefois, personne n'en veut. Malgré l'interdiction, la famille décide de le garder. Il est tellement attendrissant. Maintenant qu'il va rester il faut lui trouver un petit nom. Comme il découvre où il doit faire pipi, il sera appelé : Chi qui signifie pipi. A travers des courts chapitres, on découvre l'évolution du félins avec sa première rencontre avec une auto, un chien, quand il boit du lait, sa visite cher le vétérinaire… Pas de stress, pas de prise de tête… juste de la simplicité qui prête à sourire.

J'ai lu ce manga parce que mon gamin l'avait emprunté à la bibliothèque. Je peux comprendre l'engouement de jeunes filles et de garçons pour Chi, ce chaton recueilli.

Bien sûr, j'ai trouvé cela un peu creux, un peu gnan-gnan parfois... mais aussi tendre, comique, finement observé dans les mécanismes d'apprivoisement, de domestication du chat par l'homme et vice-versa. On suit les péripéties de Chi mais aussi de ses maîtres, aux prises avec un règlement d'immeuble qui interdit les animaux domestiques, ou en visite chez le vétérinaire.

Le dessin n'est pas trop manga (OK, pour moi), et la mise en couleur pastel est tout à fait en adéquation avec le propos.

très beau manga

Le style est enfantin, mais c'est incontestablement touchant et drôle. J'ai beaucoup aimé découvrir Chi et suivre son installation dans sa nouvelle famille. C'est léger, coloré et ça se dévore très vite.

Un petit manga qui passe comme une lettre à la porte.
Drôle et attendrissant, aussi bien le dessin que l'histoire.