AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,67

sur 50 notes
5
3 avis
4
10 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
1 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016-2017 et de la Masse Critique de Novembre 2016.

Je remercie Babelio et les éditions « A lire » pour l'envoi de ce livre et je m'excuse pour le retard de publication de ma critique. Il a été lu très vite tant je ne voulais pas quitter Ned mais j' avais pris du retard dans mes précédentes lectures. J'ai découvert cet auteur avec « La Tapisserie de Fionavar », que j'avais adoré, livre prêté par une copine de classe il y a 10 ans. Depuis, j'avais essayé de lire « La mosaïque de Sarance », suite à une critique alléchante de Boudicca, mais contrainte de l'abandonner car je n'adhérais pas à l'histoire, avec néanmoins l'espoir d'arriver à le finir un jour. « Ysabel » était dans mes penses-bête suite à son résumé très intriguant et une critique de BlackWolf, j'ai donc sauté sur l'occasion en le voyant dans cette Masse Critique.

Comme je le disais, ce livre a été lu très vite, 4 jours, merci les vacances mais aussi à cause de l'histoire très bien écrite et de la suite très intrigante des évènements arrivant dans la vie de Ned et de sa famille. Je voulais toujours en savoir plus. Par ailleurs, l'auteur a transposé son histoire à Aix-en-Provence et a fait énormément de recherches sur les différents sites chargés d'histoire de la région. Car entre les Celtes et les Romains, il y a vraiment de quoi faire. À cela, il y a ajouté l'histoire d'une famille et d'une quête hors d'âge, tout en ayant une intrigue complexe et très bien construite. Je me suis fait mener par le bout du nez tout au long de cette histoire extraordinaire. Et comme dit « Le Washington Post », il est presque impossible d'en interrompre la lecture et je comprend tout à fait pourquoi cette oeuvre a reçu le World Fantasy Award en 2008 (lors de sa première parution). Il est également difficile d'en dire plus au risque de spoiler les futurs lecteurs car il s'agit d'un one-shot très dense en évènements, en rebondissements et en surprises ; même si au début, je me suis demandée dans quelle histoire j'avais atterri, je ne me souvenais déjà plus du résumé, mais l'écriture de l'auteur est telle que je me suis laissée facilement entraîner à la suite de Ned et de ses aventures.

Comme vous l'aurez compris, ce roman est très proche du coup de coeur tant l'histoire et le mélange créés par l'auteur sont détonnant et très complexe. L'auteur nous offre ici une histoire à mi-chemin entre le passé (Celtes, Romains) et le présent, entre ésotérisme, historique et fantastique avec un jeune Canadien, comme personnage principal, et avec Aix-en-Provence en toile de fond. Cette oeuvre est un bel hommage à la région en nous faisant découvrir les différents sites chargés d'histoire tout en y alliant une quête hors norme sortie du fond des âges. Une merveilleuse histoire que j'ai été heureuse de découvrir enfin. Si vous ne connaissez pas cette oeuvre, je vous conseille plus que fortement de la découvrir sous peu tant elle est exceptionnelle dans son style et sa complexité. Pour ma part, je pense continuer à découvrir l'oeuvre de cet auteur, si atypique dans ses récits, et qui semble avoir un penchant pour la création de romans mêlant fantastique et historique. En plus de « La mosaïque de Sarance » (et non « sarantine » d'après cette maison d'éditions), je possède également « Le dernier rayon de soleil ».

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Commenter  J’apprécie          425
La Provence vue (ou illustrée) par un auteur canadien… avec une dimension fantasy !

Ecrit à la troisième personne du singulier, le récit est toutefois rendu du point de vue unique de Ned, jeune adolescent canadien qui accompagne son père photographe et son équipe lors d'un séjour en Provence pour préparer un ouvrage. Ned est le personnage central et les réactions de son entourage nous parviendront chaque fois par le biais de son observation et de son interprétation. Cela procure au texte un ton bien singulier, auquel se rajoutent les expressions canadiennes souvent humoristiques donnant aux dialogues une saveur toute particulière (j'ai beaucoup aimé par exemple le « souriard » = smiley).
Il m'a fallu du temps pour « entrer » dans cette histoire, le début m'a semblé poussif. Puis un peu avant le milieu du roman je n'ai plus lâché ma liseuse… On sent bien dès le départ qu'une dimension fantastique s'installe, néanmoins c'est lorsqu'elle est pleinement « visible » et vécue que cela devient captivant. On met du temps à relier chaque élément et les informations des personnages parce qu'eux-mêmes ne savent pas grand-chose non plus et reconstituent le puzzle peu à peu. le point de vue unique de Ned renforce ce côté-là.
J'ai aimé la description du travail d'équipe du photographe et ses assistants, leur regard porté sur les lieux. J'ai apprécié le rôle du passé et de moments clés de l'Histoire (celte/romaine/ grecque) dans l'intrigue. Je me suis amusée de quelques perceptions du français par un canadien… J'ai trouvé les dialogues frais, bien à propos, utiles au récit et agréables à lire. Ils confèrent une teneur particulière aux caractères des personnages.

En bref un pur moment de lecture qui nous transporte dans une autre dimension… et c'est rien de le dire !!!
Commenter  J’apprécie          220
En Résumé : J'avoue que, même si ce roman n'est pas obligatoirement le meilleur de Guy Gavriel Kay, j'ai tout de m^eme passé un assez bon moment de lecture avec cette intrigue qui se révèle poétique, entrainante, nous offrant un passage de l'adolescence à l'âge adulte des plus envoutant et efficace. le fantastique vient apporter une touche de mystère et de magie à l'ensemble. La toile de fond qu'est la Provence, présenté par l'auteur se révèle vraiment magnifique à découvrir que ce soit par les descriptions soignées que propose l'auteur comme par les anecdotes historiques qu'on découvre qui viennent densifier l'ensemble et donne envie de découvrir Aix en Provence. On sent que l'auteur s'est fortement renseigné. Concernant les personnages il se révèlent denses, soignés et attachants même si on pourrait reprocher à Ned un peu trop de maturité pour son âge ou encore à Mélanie et Kate d'avoir une connaissance un peu trop encyclopédique qui permet la résolution de certaines questions un peu facilement, mais rien de bloquant. Finalement mon seul regret et peut-être une simplicité qui s'en dégage dans certains aspects, un peu comme si l'auteur cherchait à viser un public plus large et une certaine linéarité. La plume de l'auteur se révèle poétique, soignée, entrainante et a réussie à me happer dans son univers et son intrigue assez facilement. Il ne me reste plus qu'à lire d'autres écrits de l'auteur.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
Commenter  J’apprécie          220
Je découvre cet auteur canadien...
Un seul bémol que je vous donne maintenant pour après vous donner tous les points positifs. J'ai eu du mal avec la traduction française mais « québécoise ». En tant normal cela ne me gêne pas mais là c'est du québécois actuel et « parlé », ce qui pourrait plaire à certains… Voilà c'est dit … passons au fond !

Je me suis laissé captiver par l'histoire ou les histoires. Pourquoi au pluriel ? Parce que chaque personnage a son passé et son ressenti et une part dans l'aventure mais aussi parce qu'il y a plusieurs sujets qui sont abordés en marge de l'intrigue « Ysabel ».

Ce qui m'a titilé dès le début c'est la place de la mère et de la gente féminine en général.

L'insistance à nous dire que la mère est absente, loin de sa famille, que la mère est dans une zone dangereuse, quelle travaille pour médecins sans frontière pour sauver des vies, qu'elle est potentiellement en danger. Et à côté de cela des filles/femmes vont venir entourer Ned.

Le garçon est avec son père artiste, photographe de renom qui vit dans sa bulle, ils sont à l'étranger loin des repères familiers. On a toute une thématique sur la famille les liens entres membres, et la famille élargie où le sang n'a rien à voir…

On nous présente Ned comme un garçon à la sensibilité exacerbée, rempli de colère et de frustrations, un adolescent en somme… il est dans un état d'esprit qui le rend sensible à certains phénomènes paranormaux…

La part fantastique de la narration entraîne le lecteur vers d'autres considérations, on fait entre autre un voyage dans l'histoire et la géographie de la Provence.

Ce séjour sera pour Ned un voyage initiatique qui va le sortir de l'enfance comme il est dit parfois dans le texte.

J'ai beaucoup aimé tout ce qui tourne autour de la magie celtique… qui est le sujet central de l'histoire d'Ysabel.

Mais voilà je ne peux m'empêcher de m'intéressé aux à côtés… Tel la thématique du regard. Guy Gavriel Kay nous parle de lumière, d'éclairage, l'oeil de l'artiste qui détecte la moindre faille ou la beauté du monde. Ed Marriner est photographe il capture des images il est connu pour sa vision personnelle. Immortaliser ce que tant de gens ont déjà photographié. La recherche de l'angle de vue qui fait que l'on reconnaît le style de l'artiste. de la ont peux extrapoler vers la création en général. Plusieurs écrivains peuvent parler d'un même sujet sans que le résultat soit le même. Chacun à son prisme, sa focale intérieure, chaque lecteur va ressentir quelque chose de différent en lisant ce roman, parce que tel ou tel sujet va ressortir, une mise en relief.

Ce roman fait la part belle au visuel sans qu'on se perde dans des descriptions. Comment ? le père est photographe, le fils capte certains détails et certaines ondes, parce que cela se passe ne Provence avec sa lumière et ses couleurs. Parce que des artistes tel Cézanne a immortalisé la Montagne Sainte-Victoire. J'ai bien aimé l'interrogation comment faire une photo sans qu'on le compare à un tableau de Cézanne… Belle réponse que je vous laisse découvrir dans le roman.

J'arrive à la conclusion de ma chronique et je réalise que l'intrigue principale n'a pas été abordée…lisez la quatrième de couverture et partez avec Ned vers les mystères celtes !
Lien : https://latelierderamettes.w..
Commenter  J’apprécie          50
Le chant des grillons, l'odeur de la lavande, le vert éblouissant du printemps.

C'est avec un mélange d'espoir et d'appréhension que je me suis lancée dans le dernier roman de Guy Gavriel Kay traduit en français : Ysabel. de l'espoir parce que Guy Gavriel Kay est un fabuleux écrivain. de l'appréhension parce que son roman est très différent de tous les autres et qu'il en aurait déçu quelques uns.

Déjà je savais à quoi m'attendre : cette fois ci, pas de monde détourné, pas de personnage historique réinventé. L'histoire se passe à Aix-en-Provence et à notre époque. A première vue, la nostalgie poétique qui caractérise ses autres romans est moins présente. Et pourtant...

Immédiatement je me suis sentie transportée. Les beautés de la Provence semblent se déployer sous mes yeux. Je me retrouve dans ce lieu que je ne connais pas.

Ma critique complète : https://singesdelespace.wordpress.com/2012/01/24/ysabel-de-guy-gavriel-kay/
Commenter  J’apprécie          40
Merci aux éditions ALIRE et à Babelio grâce à qui j'ai pu découvrir ce roman, qui s'est révélé une découverte tout à fait excellente. de cet auteur, j'avais déjà dévoré quelques livres mais plus dans le thème fantasy historique que réalisme magique. Ici, point de royaume ancien : notre protagoniste est un adolescent canadien amateur de cross country, avec téléphone portable et comportement tout à fait moderne ! Et d'ailleurs puisqu'on évoque le Canada, la traduction est québécoise et les trente premières pages sont un peu étonnantes pour un lecteur français, mais à partir de là on se sent comme un poisson dans l'eau!
L'histoire en elle-même est une histoire d'amour et de jalousie teintée de sang: un Celte et un Grec ont aimé la même femme et depuis deux mille ans, la même tragédie se rejoue avec quelques variantes par ci par là mais avec du sang versé dans quasiment toutes les versions.
Si je devais vraiment être féroce, je reprocherais peut-être un début un peu lent et que cette oeuvre brille peu par ces thèmes féministes: Ysabel, ces hommes veulent la posséder à toute force et quand elle en choisit un, l'autre aussitôt leur fait la guerre pour la reprendre!
Jamais le choix ne lui est offert de n'en choisir aucun, ou de voir le rejeté respecter son choix. Ce serait peut-être un peu moderne pour un celte, vous me direz, mais nous pouvons toujours rêver.

Ysabel est un roman prenant, palpitant, qui passé le tout début et la mise en place se dévore avec trépidation.
Il ne se hisse pas tout à fait à la hauteur des plus grandes oeuvres de l'auteur mais cela reste un très bon roman , plus facile d'accès sans doute que ses autres oeuvres et qu'un lecteur moins habitué aux énormes pavés appréciera peut-être de mettre en premier sur sa liste, un très bon roman que je recommande.
Commenter  J’apprécie          30
Ce roman lu dans le cadre d'une découverte d'auteur pour un "Mois de" a rempli exactement sa mission : me charmer et me donner envie d'explorer plus avant la bibliographie de cet auteur.

Ned est ado canadien qui se trouve parachuté en Provence, forcé de suivre son père, le grand Edward Marriner, photographe réputé qui doit faire un reportage sur les vestiges historiques du sud de la France. Même si ce séjour lui permet d'échapper à un mois de cours, il se sent malgré tout un peu de trop au sein de cette équipe de professionnels composée de Mélanie, l'assistante de son père et Steve et Greg, deux techniciens. Quant à sa mère, elle officie au sein de Médecins Sans Frontières et se trouve en ce moment au Darfour malgré la forte inquiétude des siens.

Histoire de ne pas traîner dans les pattes de son père, Ned explore seul l'intérieur de la cathédrale Saint-Sauveur d'Aix-en-Provence. C'est là qu'il va croiser Kate, une new-yorkaise en transit en France dans le cadre d'un échange scolaire, avec qui il va sympathiser. Et heureusement, car l'impact des événements dont ils vont être témoins ensembles va en quelque sorte les lier : quand on ne peut raconter ce qu'on a vu sous peine de passer pour un fou furieux, on est heureux de savoir qu'au moins une personne y croit et comprend votre angoisse.
Ce duo d'ados va apporter pas mal de piquant au récit, car Guy Gavriel Kay va leur prêter un humour et une répartie bien sympathique. L'idylle naissante est pure et saine, et c'est ma foi fort rafraîchissant. Les questionnements et les tâtonnements de ce gamin en passe de devenir un homme sont touchants.

La suite sur le blog ;)
Lien : http://bookenstock.blogspot...
Commenter  J’apprécie          20
J'ai d'abord été un peu décontenancée par le style du roman, avant de réaliser qu'il s'agissait d'une édition québecoise, avec des tournures et des expressions propres à cette région (par exemple, j'ai découvert les souriards : 😊, ). Cela faisait quand même un drôle de mélange, cette histoire traduite pour des québecois qui réunit dans la Provence du 21ème siècle un Canadien et une Américaine mêlés aux histoires d'un Celte et d'un Romain vieux de plus de plusieurs siècles...Un drôle de mélange, mais très réussi au final car j'ai beaucoup aimé Ysabel, qui m'a happée dans son univers étrange pour une quête originale. le héros, un adolescent "ordinaire", ne m'a pas vraiment convaincue, mais les personnages qui l'entourent m'ont bien plu, amenant nuances et profondeur au récit.Dans cette Provence qui sert de cadre au récit, on est loin de la carte postale pour touristes même si tout commence par là, à l'occasion d'un voyage pour préparer un livre de photos sur la région. Ysabel va outre la beauté des paysages naturels et des vestiges archéologiques présents un peu partout en rappelant la réalité historique des peuples qui y ont vécu successivement, se sont affrontés, parfois massacrés et qui ont marqué la mémoire des lieux.Le récit conserve une bonne part de mystère même après avoir tourné la dernière page : nous n'en savons pas plus que ce que le héros parvient à découvrir, non sans mal d'ailleurs et souvent sans certitude. C'est parfois très frustrant toutes ces explications qu'on n'obtient pas, mais c'est également à mon avis une des réussites de ce roman de Guy Gavriel Kay : il soulève à peine le voile pour nous laisser entrevoir un infime aperçu d'infinies possibilités.P.S. : à noter qu'un des personnages secondaires, Kim, la tante du héros, pourrait en savoir bien plus qu'elle ne le dit. En effet tout le long du roman, Guy Gavriel Kay évoque très vaguement des événements du passé Kim qui ont fini par me laisser penser qu'elle avait déjà dû être présente dans un précédent roman de l'auteur. Là encore, rien n'est clairement explicité, mais après avoir fureté sur Internet et plus particulièrement sur les blogs de fans de Guy Gavriel Kay, il semblerait que Kim ait été l'une des héroïnes de la trilogie La tapisserie de Fionavar. Il n'en fallait pas plus pour piquer ma curiosité : j'ai rajouté le titre sur la liste des livres que j'aimerais lire...
Commenter  J’apprécie          10
Ce roman m'est apparu comme un ovni dans l'oeuvre de l'auteur, dont les romans me font rêver et voyager.
Cette fois, l'intrigue se passe de nos jours. le héro canadien, Ned Marriner, 15ans, a accompagné son père, célèbre photographe, en Provence le temps d'une prise de vue. Au fil de ses rencontres, Ned se retrouve mêlé à une drôle d'intrigue amoureuse où deux immortels luttent pour le coeur d'Ysabel.
Commenter  J’apprécie          10
Tout juste terminé !

Sans aller jusqu'au raté, c'est quand même le moins bon G.G. Kay que j'ai lu. Pour autant j'ai passé un agréable moment.
Plus qu'une histoire de fantasy, ce roman c'est une véritable déclaration d'amour à la Provence. C'est peut-être idiot à dire mais je trouve qu'il fait un excellent guide du routard ! J'ai une folle envie d'aller visiter tous ces lieux !

Après l'histoire est assez classique mais toujours agréable à suivre. Ca reste quand même très calme, très plat. Tout se déroule comme s'il n'y avait aucune embûche. Les quelques rebondissements sont prévisibles, il y a juste la fin qui m'a un peu étonné mais sans plus.
Malgré tout ça reste une histoire prenante, ne serait-ce que pour les détails sur la présence celte/romaine dans ces lieux, pour les descriptions...

J'ai toujours le même problème. Kay veut introduire des relations amoureuses mais ça ne prend jamais avec moi, je ne trouve pas ça vraiment crédible et ça gêne ma lecture lors de ses passages là...

J'sais pas pourquoi. Ce livre n'est pas extraordinaire mais je lui trouve quand même un petit quelque chose qui fait qu'il restera dans ma bibliothèque et que je le relirais plus tard. Je crois que c'est l'ambiance provençale, cet amour retranscrit dans les mots. Ca m'a un peu touché.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (95) Voir plus



Quiz Voir plus

Monstres de la mythologie grecque

Je suis une créature hybride, mi-homme mi-cheval.

Le Minotaure
Le Centaure
La Cavale
La Manticore

12 questions
3433 lecteurs ont répondu
Thèmes : monstre , mythologie grecque , créatures mythologiques , mythologie , mythesCréer un quiz sur ce livre

{* *}