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Livre lu dans le cadre du challenge ABC 2016-2017 et de la Masse Critique de Novembre 2016.

Je remercie Babelio et les éditions « A lire » pour l'envoi de ce livre et je m'excuse pour le retard de publication de ma critique. Il a été lu très vite tant je ne voulais pas quitter Ned mais j' avais pris du retard dans mes précédentes lectures. J'ai découvert cet auteur avec « La Tapisserie de Fionavar », que j'avais adoré, livre prêté par une copine de classe il y a 10 ans. Depuis, j'avais essayé de lire « La mosaïque de Sarance », suite à une critique alléchante de Boudicca, mais contrainte de l'abandonner car je n'adhérais pas à l'histoire, avec néanmoins l'espoir d'arriver à le finir un jour. « Ysabel » était dans mes penses-bête suite à son résumé très intriguant et une critique de BlackWolf, j'ai donc sauté sur l'occasion en le voyant dans cette Masse Critique.

Comme je le disais, ce livre a été lu très vite, 4 jours, merci les vacances mais aussi à cause de l'histoire très bien écrite et de la suite très intrigante des évènements arrivant dans la vie de Ned et de sa famille. Je voulais toujours en savoir plus. Par ailleurs, l'auteur a transposé son histoire à Aix-en-Provence et a fait énormément de recherches sur les différents sites chargés d'histoire de la région. Car entre les Celtes et les Romains, il y a vraiment de quoi faire. À cela, il y a ajouté l'histoire d'une famille et d'une quête hors d'âge, tout en ayant une intrigue complexe et très bien construite. Je me suis fait mener par le bout du nez tout au long de cette histoire extraordinaire. Et comme dit « Le Washington Post », il est presque impossible d'en interrompre la lecture et je comprend tout à fait pourquoi cette oeuvre a reçu le World Fantasy Award en 2008 (lors de sa première parution). Il est également difficile d'en dire plus au risque de spoiler les futurs lecteurs car il s'agit d'un one-shot très dense en évènements, en rebondissements et en surprises ; même si au début, je me suis demandée dans quelle histoire j'avais atterri, je ne me souvenais déjà plus du résumé, mais l'écriture de l'auteur est telle que je me suis laissée facilement entraîner à la suite de Ned et de ses aventures.

Comme vous l'aurez compris, ce roman est très proche du coup de coeur tant l'histoire et le mélange créés par l'auteur sont détonnant et très complexe. L'auteur nous offre ici une histoire à mi-chemin entre le passé (Celtes, Romains) et le présent, entre ésotérisme, historique et fantastique avec un jeune Canadien, comme personnage principal, et avec Aix-en-Provence en toile de fond. Cette oeuvre est un bel hommage à la région en nous faisant découvrir les différents sites chargés d'histoire tout en y alliant une quête hors norme sortie du fond des âges. Une merveilleuse histoire que j'ai été heureuse de découvrir enfin. Si vous ne connaissez pas cette oeuvre, je vous conseille plus que fortement de la découvrir sous peu tant elle est exceptionnelle dans son style et sa complexité. Pour ma part, je pense continuer à découvrir l'oeuvre de cet auteur, si atypique dans ses récits, et qui semble avoir un penchant pour la création de romans mêlant fantastique et historique. En plus de « La mosaïque de Sarance » (et non « sarantine » d'après cette maison d'éditions), je possède également « Le dernier rayon de soleil ».

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Ceux qui me connaissent un peu savent que je suis fan des romans de Guy Gavriel Kay. Quand j'ai vu que son Ysabel avait reçu le Prix World Fantasy (pour le meilleur roman en 2008), je me suis lancée avec enthousiasme dans ce roman.

Ned est un jeune canadien de 15 ans qui accompagne son père plusieurs semaines dans le sud de la France. Ce dernier est en effet un grand photographe, et entouré de son équipe technique, il doit prendre de nombreux clichés de lieux historiques autour d'Aix-en-Provence.
Lors d'une séance de photos dans la cathédrale d'Aix, Ned croise un inconnu étrange, inquiétant et mystérieux. Par la suite, il se retrouve victime de malaises inhabituels. le début d'une succession d'évènements improbables et nombre d'interrogations impliquant l'histoire des Celtes et des Romains…

Autant le dire de suite, je n'ai pas eu autant de plaisir qu'avec mes précédentes lectures de Kay, je peux même avouer que je suis un peu déçue.

Plusieurs raisons à cela je pense, la première étant que je n'ai tout simplement pas tout compris. Beaucoup de zones d'ombres persistent, l'intervention de certains personnages et l'origine de leur capacité (), le pourquoi de l'histoire des 3 personnages du passé… je reste sur ma faim, un goût d'inachevé.

Ensuite, je pense que la traduction ne m'a pas aidée. Je suis quasi sûre que j'ai une traduction en français québécois, certaines expressions pouvaient être déroutantes. Cela ne m'empêchait pas de comprendre globalement, mais des sous-entendus m'ont certainement échappé, en particulier lors des échanges énigmatiques entre certains personnages.

Enfin l'histoire se déroule de nos jours, le ton employé est donc très moderne, surtout avec des protagonistes adolescents ou jeunes adultes. Je n'ai pas retrouvé le brin de poésie que j'avais tellement apprécié dans La Chanson d'Arbonne ou Les Lions d'Al-Rassan. Cela m'a manqué.

C'est dommage car ce roman a par ailleurs de belles qualités. le rythme est soutenu par de fréquents rebondissements, on suit avec plaisir les pérégrinations du jeune Ned, on ne s'ennuie pas une minute. On est happé par « l'histoire » et tous les mystères qui l'entourent, les références à la grande Histoire, au passé de certains protagonistes. J'ai pris des notes car très envie d'aller passer quelques jours dans le sud pour aller voir de mes propres yeux tous les sites visités par Ned et ses amis.

J'ai vu que d'autres babéliotes ont beaucoup apprécié ce roman. Mon avis n'exprime qu'un ressenti qui ne doit en rien dissuader de futurs lecteurs.
Pour ma part, c'est un loupé, je suis passée à côté de ce roman. Mais je reviendrai vers cet auteur quand même, l'envie est restée intacte de découvrir ses autres univers.

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La Provence vue (ou illustrée) par un auteur canadien… avec une dimension fantasy !

Ecrit à la troisième personne du singulier, le récit est toutefois rendu du point de vue unique de Ned, jeune adolescent canadien qui accompagne son père photographe et son équipe lors d'un séjour en Provence pour préparer un ouvrage. Ned est le personnage central et les réactions de son entourage nous parviendront chaque fois par le biais de son observation et de son interprétation. Cela procure au texte un ton bien singulier, auquel se rajoutent les expressions canadiennes souvent humoristiques donnant aux dialogues une saveur toute particulière (j'ai beaucoup aimé par exemple le « souriard » = smiley).
Il m'a fallu du temps pour « entrer » dans cette histoire, le début m'a semblé poussif. Puis un peu avant le milieu du roman je n'ai plus lâché ma liseuse… On sent bien dès le départ qu'une dimension fantastique s'installe, néanmoins c'est lorsqu'elle est pleinement « visible » et vécue que cela devient captivant. On met du temps à relier chaque élément et les informations des personnages parce qu'eux-mêmes ne savent pas grand-chose non plus et reconstituent le puzzle peu à peu. le point de vue unique de Ned renforce ce côté-là.
J'ai aimé la description du travail d'équipe du photographe et ses assistants, leur regard porté sur les lieux. J'ai apprécié le rôle du passé et de moments clés de l'Histoire (celte/romaine/ grecque) dans l'intrigue. Je me suis amusée de quelques perceptions du français par un canadien… J'ai trouvé les dialogues frais, bien à propos, utiles au récit et agréables à lire. Ils confèrent une teneur particulière aux caractères des personnages.

En bref un pur moment de lecture qui nous transporte dans une autre dimension… et c'est rien de le dire !!!
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En Résumé : J'avoue que, même si ce roman n'est pas obligatoirement le meilleur de Guy Gavriel Kay, j'ai tout de m^eme passé un assez bon moment de lecture avec cette intrigue qui se révèle poétique, entrainante, nous offrant un passage de l'adolescence à l'âge adulte des plus envoutant et efficace. le fantastique vient apporter une touche de mystère et de magie à l'ensemble. La toile de fond qu'est la Provence, présenté par l'auteur se révèle vraiment magnifique à découvrir que ce soit par les descriptions soignées que propose l'auteur comme par les anecdotes historiques qu'on découvre qui viennent densifier l'ensemble et donne envie de découvrir Aix en Provence. On sent que l'auteur s'est fortement renseigné. Concernant les personnages il se révèlent denses, soignés et attachants même si on pourrait reprocher à Ned un peu trop de maturité pour son âge ou encore à Mélanie et Kate d'avoir une connaissance un peu trop encyclopédique qui permet la résolution de certaines questions un peu facilement, mais rien de bloquant. Finalement mon seul regret et peut-être une simplicité qui s'en dégage dans certains aspects, un peu comme si l'auteur cherchait à viser un public plus large et une certaine linéarité. La plume de l'auteur se révèle poétique, soignée, entrainante et a réussie à me happer dans son univers et son intrigue assez facilement. Il ne me reste plus qu'à lire d'autres écrits de l'auteur.


Retrouvez ma chronique complète sur mon blog.
Lien : http://www.blog-o-livre.com/..
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Il y a plus de 2 000 ans dans les terres verdoyantes de la Provence, deux hommes ont aimé une femme. Et continuent à l'aimer et à se haïr, à mourir et à tuer pour elle, siècle après siècle, génération après génération… Jusqu'à que de nos jours, un étudiant canadien vienne par le plus grand des hasards perturber ce cycle sans fin. Une intrigante rencontre dans le cloître d'une cathédrale, une statue aux traits à moitié effacés, un nom de femme entendu du coin de l'oreille et le jeune Ned Marriner se retrouve entraîné dans un monde étrange où se mêlent époques depuis longtemps disparues et passions anciennes.

C'est avec un peu d'appréhension que je me suis lancée dans la lecture de ce roman. Depuis ma première lecture émerveillée de « Tigane », Guy Gavriel Kay est un de mes auteurs fétiches dont j'attends chaque nouvelle création avec une angoisse mêlée d'excitation (son avant-dernier roman traduit en français « le dernier rayon du soleil » m'avait hélas laissé une impression plutôt mitigée). « Ysabel » présentait d'entrée deux mauvais points pour moi : un personnage principal adolescent (pouah !) et l'abandon apparent de la fantasy historique, genre dans lequel Gavriel Kay excelle.

Malgré un début un peu lent, mes craintes se sont très rapidement dissipées. « Ysabel » n'a rien d'un simple roman pour adolescents comme je l'avais redouté au premier abord : on y parle de sang et de massacre, d'amour et de désir, de jalousie et de perte avec une maturité et une subtilité qui fait plaisir à voir. L'histoire d'amour est belle et grave. La Provence superbement décrite. L'utilisation de la magie subtile et tragique. En conclusion, un fort beau roman qui, s'il n'égale pas la splendeur de « Tigane » ou des « Lions d'al Rassan », n'en est pas moins un récit de fantasy très bien tourné qui ravira les amateurs d'histoire et de mythologie.

Guy Gavriel Kay reste décidément le meilleur !
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Je découvre cet auteur canadien...
Un seul bémol que je vous donne maintenant pour après vous donner tous les points positifs. J'ai eu du mal avec la traduction française mais « québécoise ». En tant normal cela ne me gêne pas mais là c'est du québécois actuel et « parlé », ce qui pourrait plaire à certains… Voilà c'est dit … passons au fond !

Je me suis laissé captiver par l'histoire ou les histoires. Pourquoi au pluriel ? Parce que chaque personnage a son passé et son ressenti et une part dans l'aventure mais aussi parce qu'il y a plusieurs sujets qui sont abordés en marge de l'intrigue « Ysabel ».

Ce qui m'a titilé dès le début c'est la place de la mère et de la gente féminine en général.

L'insistance à nous dire que la mère est absente, loin de sa famille, que la mère est dans une zone dangereuse, quelle travaille pour médecins sans frontière pour sauver des vies, qu'elle est potentiellement en danger. Et à côté de cela des filles/femmes vont venir entourer Ned.

Le garçon est avec son père artiste, photographe de renom qui vit dans sa bulle, ils sont à l'étranger loin des repères familiers. On a toute une thématique sur la famille les liens entres membres, et la famille élargie où le sang n'a rien à voir…

On nous présente Ned comme un garçon à la sensibilité exacerbée, rempli de colère et de frustrations, un adolescent en somme… il est dans un état d'esprit qui le rend sensible à certains phénomènes paranormaux…

La part fantastique de la narration entraîne le lecteur vers d'autres considérations, on fait entre autre un voyage dans l'histoire et la géographie de la Provence.

Ce séjour sera pour Ned un voyage initiatique qui va le sortir de l'enfance comme il est dit parfois dans le texte.

J'ai beaucoup aimé tout ce qui tourne autour de la magie celtique… qui est le sujet central de l'histoire d'Ysabel.

Mais voilà je ne peux m'empêcher de m'intéressé aux à côtés… Tel la thématique du regard. Guy Gavriel Kay nous parle de lumière, d'éclairage, l'oeil de l'artiste qui détecte la moindre faille ou la beauté du monde. Ed Marriner est photographe il capture des images il est connu pour sa vision personnelle. Immortaliser ce que tant de gens ont déjà photographié. La recherche de l'angle de vue qui fait que l'on reconnaît le style de l'artiste. de la ont peux extrapoler vers la création en général. Plusieurs écrivains peuvent parler d'un même sujet sans que le résultat soit le même. Chacun à son prisme, sa focale intérieure, chaque lecteur va ressentir quelque chose de différent en lisant ce roman, parce que tel ou tel sujet va ressortir, une mise en relief.

Ce roman fait la part belle au visuel sans qu'on se perde dans des descriptions. Comment ? le père est photographe, le fils capte certains détails et certaines ondes, parce que cela se passe ne Provence avec sa lumière et ses couleurs. Parce que des artistes tel Cézanne a immortalisé la Montagne Sainte-Victoire. J'ai bien aimé l'interrogation comment faire une photo sans qu'on le compare à un tableau de Cézanne… Belle réponse que je vous laisse découvrir dans le roman.

J'arrive à la conclusion de ma chronique et je réalise que l'intrigue principale n'a pas été abordée…lisez la quatrième de couverture et partez avec Ned vers les mystères celtes !
Lien : https://latelierderamettes.w..
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le roman de G. G. Kay reprend une belle et antique histoire et repose sur une belle idée de récit : celle de la résurgence active et concrète de mythes anciens en plein XXI°s, dans une Provence perçue (et c'est amusant) du point de vue de personnages canadiens. L'histoire de l'adolescent, qui est le héros, aurait pu être, elle aussi, réussie. Mais on se demande dans quelle langue écrit le traducteur, qui, la plupart du temps, calque la syntaxe et le vocabulaire anglais dans sa version française : ainsi présentations se dit introductions, endroit se dit place, etc, et certaines phrases sont parfaitement incompréhensibles à moins de les retraduire en anglais ... Ce charabia serait supportable si le texte de départ ne souffrait pas de graves défauts de cohérence et de composition : par exemple, on n'a pas besoin de suivre à longueur de pages les délibérations et les incompréhensions du héros, qui a peine à saisir ce que le lecteur a déjà compris. Et la recomposition d'une famille déchirée, à l'occasion d'événements dangereux, ressemble trop à ces scénarios interchangeables de films-catastrophe américains pour convaincre. Comme toujours dans le genre de la fantasy et de la sf, les idées narratives sont très belles, mais l'art et la technique de l'écrivain ne sont pas du tout à la hauteur. Quant à la traduction, nous sommes trop habitués aux massacres commerciaux de notre langue et aux versions inintelligibles pour nous plaindre.
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Le chant des grillons, l'odeur de la lavande, le vert éblouissant du printemps.

C'est avec un mélange d'espoir et d'appréhension que je me suis lancée dans le dernier roman de Guy Gavriel Kay traduit en français : Ysabel. de l'espoir parce que Guy Gavriel Kay est un fabuleux écrivain. de l'appréhension parce que son roman est très différent de tous les autres et qu'il en aurait déçu quelques uns.

Déjà je savais à quoi m'attendre : cette fois ci, pas de monde détourné, pas de personnage historique réinventé. L'histoire se passe à Aix-en-Provence et à notre époque. A première vue, la nostalgie poétique qui caractérise ses autres romans est moins présente. Et pourtant...

Immédiatement je me suis sentie transportée. Les beautés de la Provence semblent se déployer sous mes yeux. Je me retrouve dans ce lieu que je ne connais pas.

Ma critique complète : https://singesdelespace.wordpress.com/2012/01/24/ysabel-de-guy-gavriel-kay/
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Merci aux éditions ALIRE et à Babelio grâce à qui j'ai pu découvrir ce roman, qui s'est révélé une découverte tout à fait excellente. de cet auteur, j'avais déjà dévoré quelques livres mais plus dans le thème fantasy historique que réalisme magique. Ici, point de royaume ancien : notre protagoniste est un adolescent canadien amateur de cross country, avec téléphone portable et comportement tout à fait moderne ! Et d'ailleurs puisqu'on évoque le Canada, la traduction est québécoise et les trente premières pages sont un peu étonnantes pour un lecteur français, mais à partir de là on se sent comme un poisson dans l'eau!
L'histoire en elle-même est une histoire d'amour et de jalousie teintée de sang: un Celte et un Grec ont aimé la même femme et depuis deux mille ans, la même tragédie se rejoue avec quelques variantes par ci par là mais avec du sang versé dans quasiment toutes les versions.
Si je devais vraiment être féroce, je reprocherais peut-être un début un peu lent et que cette oeuvre brille peu par ces thèmes féministes: Ysabel, ces hommes veulent la posséder à toute force et quand elle en choisit un, l'autre aussitôt leur fait la guerre pour la reprendre!
Jamais le choix ne lui est offert de n'en choisir aucun, ou de voir le rejeté respecter son choix. Ce serait peut-être un peu moderne pour un celte, vous me direz, mais nous pouvons toujours rêver.

Ysabel est un roman prenant, palpitant, qui passé le tout début et la mise en place se dévore avec trépidation.
Il ne se hisse pas tout à fait à la hauteur des plus grandes oeuvres de l'auteur mais cela reste un très bon roman , plus facile d'accès sans doute que ses autres oeuvres et qu'un lecteur moins habitué aux énormes pavés appréciera peut-être de mettre en premier sur sa liste, un très bon roman que je recommande.
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« Ysabel » de Guy Gavriel Kay prend pour cadre, la Provence que nous connaissons : Ned Marriner, en visite à Aix-en-Provence va se faire happer par la mythologie des lieux, toujours aussi vivante. Par quelques défauts infimes et une histoire qui ne propulse pas le meilleur de l'écriture de l'auteur, je considère ce roman comme secondaire dans la bibliographie de Guy Gavriel Kay. Pourtant, il reste abordable et même accueillant pour un public jeune.
(chronique complète : http://livrement.com/2015/09/08/ysabel-guy-gavriel-kay/)
Lien : http://livrement.com/2015/09..
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