Citations sur Les Monarchies divines, Tome 2 : Les Rois hérétiques (17)
- Un homme doit croire en quelque chose, Golophin. (Mercado)
- Alors qu'il croie en lui-même, et laissons Dieu en dehors de tout ça !
Faire tout son possible pour changer le monde me semble un moyen sûr de raccourcir son bail sur Terre (Avila à Albrec)
Le pontife resta seul dans la nuit claire, ses yeux étincelant sous sa capuche .dans sa tête , il rassemblait des armées et mettait le feu aux cités des hérétiques.un second Empire serait alors sur terre, et comme l'avait dit Honorius le Fou, il surviendrait dans une ère de fer et de feu.
C'est bien cela le plus malheureux, prenez un mensonge, transformez-le en croyance et il pourrit la foi qui reste comme une pomme avariée dans une futaille. Personne ne sait plus que croire. L'Eglise titube sur ses fondations, que sa structure soit saine ou non, et ces hommes bon à son service sont entachés de mensonges.
Le pouvoir allié à l'irresponsabilité. C'est la chose la plus dangereuse au monde, la plus alléchante des tentations. C'est le mal, purement et simplement.
Les hommes changent, et ils aiment croire que le monde change avec eux. Ce n'est pas le cas ; il se contente de les tolérer et continue à suivre ses propres révolutions ésotériques.
L'hiver de la vie d'un homme, [...], est l'époque où tous ceux qui l'entourent prennent la mesure de tout ce qu'il a fait et recherché à faire, et de tout ce qu'il n'a pas réussi à accomplir.
Du bonbon pour les yeux! Après avoir été légèrement déçu suite à la lecture du premier tome, je ne fus qu'agréablement surpris du deuxième. L'intrigue est mille fois plus poignante
L'Eglise s'assoit sur la vérité depuis des siècles, Avila, la cache au monde pour sauvegarder sa propre autorité ! Où est la piété ? Où est l'humanité ? Ils se comportent comme des princes déterminés à se raccrocher à leur pouvoir, quel qu'en soit le prix. (Albrec)
La curiosité est une chose terrible à supporter, comme une démangeaison que l'on ne peut pas gratter. (Avila à Albrec)