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Critique de Maudino
Un peu déçue par cette lecture. J'avais pourtant adoré "Ça" et " Shining" du même auteur.
Certains éléments m'ont plu, certes, mais le style d'écriture très familier et la structure décousue du récit ont entaché ma lecture. Par ailleurs, le frisson de l'épouvante ne m'a pas parcouru l'échine comme je l'escomptais !
J'ai néanmoins apprécié :
- La transformation d'un récit connu et reconnu - le souffre-douleur d'un lycée américain qui devient reine du bal de fin d'année - en une histoire terrifiante. J'aime beaucoup ce retournement de situation et de jouer ainsi avec des éléments typiques des comédies romantiques.
- La construction d'une figure cinématographique puissante : la jeune femme en robe couverte de sang. Stephen King est très fort pour créer des images choquantes seulement avec le pouvoir de l'écriture.
- Enfin, ce roman semble s'inspirer et inspirer d'autres oeuvres littéraires populaires du genre fantastique. Les capacités de télékinésie de Carrie m'ont fait pensé à Mathilda de Roald Dahl. J'ai aussi fortement pensé à l'Obscurus appartenant au monde de Hary Potter, Carrie étant une enfant maltraitée dont les pouvoirs deviennent extrêmement dangereux à force d'être réprimés violemment.
Certains éléments m'ont plu, certes, mais le style d'écriture très familier et la structure décousue du récit ont entaché ma lecture. Par ailleurs, le frisson de l'épouvante ne m'a pas parcouru l'échine comme je l'escomptais !
J'ai néanmoins apprécié :
- La transformation d'un récit connu et reconnu - le souffre-douleur d'un lycée américain qui devient reine du bal de fin d'année - en une histoire terrifiante. J'aime beaucoup ce retournement de situation et de jouer ainsi avec des éléments typiques des comédies romantiques.
- La construction d'une figure cinématographique puissante : la jeune femme en robe couverte de sang. Stephen King est très fort pour créer des images choquantes seulement avec le pouvoir de l'écriture.
- Enfin, ce roman semble s'inspirer et inspirer d'autres oeuvres littéraires populaires du genre fantastique. Les capacités de télékinésie de Carrie m'ont fait pensé à Mathilda de Roald Dahl. J'ai aussi fortement pensé à l'Obscurus appartenant au monde de Hary Potter, Carrie étant une enfant maltraitée dont les pouvoirs deviennent extrêmement dangereux à force d'être réprimés violemment.
