Le cercle des poètes disparus

C'est la lecture parfaite de la rentrée scolaire !

C'est un livre très court car il fait moins de 200 pages mais par contre vous ressortirez de cette lecture avec l'âme gonflée à bloc et le coeur remplit d'amour. Il peut aussi faire découvrir la magie des mots à chaque personne qui ne connaissent pas encore leurs pouvoirs.

L'histoire se passe dans les années 60, il y a encore les écoles de filles et de garçons. Dans l'histoire, nous suivons une classe de jeunes garçons, perdus, qui ne savent pas quoi faire de leur vie. Ils vont faire la rencontre qui va changer leur vie à tout jamais, le nouveau professeurs de lettres Mr John Keating, il va leur faire voir le monde autrement, avoir une autre vision à laquelle leur parents les prédestinent, à l'époque les libertés de penser étaient assez restreinte. Les méthodes de Mr Keating sont mal vues et oui quelle idée de monter sur les tables !

Ô Capitaine, mon capitaine !

Avec lui, ils découvrent la poésie et que c'est beau ! Ils vont recréer un groupe qui existait dans le passé le cercle des poètes disparus.

J'aurais aimé avoir dans ma vie un tel professeur !

Il m'a juste manqué une toute petite chose, l'émotion ! Je pense que c'est parce que j'avais trop l'image de Robin Williams en tête et sans son jeu d'acteur, je n'ai pas pu être totalement dans le livre ! Je me souviens avoir été en larmes avec le film et là rien ! Alors est-ce parce que je connaissais déjà l'histoire au fond de moi-même ? Est-ce parce que j'ai vieillit ? Est-ce parce que le livre est le scénario exact du film ?

Dans tout les cas, c'est un livre à lire, à découvrir ! Si vous avez la possibilité de voir le film c'est encore mieux !
Lien : https://deslivresmonunivers...

Nous sommes dans les années 60, dans un prestigieux collège en Amérique. Un nouveau professeur de français, Keating, vient d'arriver. Il a de nouvelles méthodes d'enseignement. Alors que la discipline est de rigueur dans l'établissement, il prône la liberté, encourage les jeunes à faire des choix et les incite à "cueillir dès maintenant les roses de la vie". Un petit groupe d'entre eux bois ses paroles et les met à profit, d'abord en recréant le cercle des poètes disparus, dont faisait partie avant eux leur cher professeur. Ils se retrouvent en pleine nuit dans une grotte à l'extérieur du collège pour lire de la poésie. Les personnalités s'affirment peu à peu. Neil veut faire du théâtre, à l'insu de son père qui a pour lui d'autres ambitions : la médecine. Todd est replié sur lui-même, introverti, manque de confiance en lui. Son frère a toujours été le préféré de ses parents, a toujours excellé partout. Knox est amoureux et prêt à tout pour conquérir Chris. Elle est malheureusement déjà dans les bras de Chet, un jeune homme brutal qui s'en prend violemment à Knox. Quant à Charlie, il aime blaguer et peut se montrer lui aussi parfois violent et surtout un peu lourd.
Ces jeunes iront-ils jusqu'au bout de leurs rêves, de leurs envies, de leurs désirs ?
Un roman qui nous fait réfléchir et comprendre une fois de plus qu'il faut toujours faire attention quand on a des jeunes adolescents sous notre responsabilité. Ils sont influençables, rapidement enthousiastes quand on sait s'y prendre mais sans limites.
J'avais entendu parler de ce roman à sa sortie et je suis finalement passée à côté. Je n'ai pas été passionnée au début, j'ai même été déçue mais il faut être patient car la fin vaut le coup.

J'ai lu le cercle des poètes disparus un peu par hasard, en le choisissant sur les rayons de la médiathèque de mon village, faute de mieux. J'avais vu le film l'année dernière, et il m'avait plu, alors je me suis décidé à commencer le roman...
Et ce fut une magnifique découverte ! J'ai tout simplement adoré ! C'était, je crois, le meilleur roman que j'ai pu lire depuis le début de ma (maigre) vie...
La poésie, le cercle, et surtout Monsieur Keating m'ont invitée à réfléchir et à voyager du début à la fin. J'ai eu l'impression d'avoir lu et compris la vie en seulement cent soixante dix-sept pages. Les références littéraires, les idéologies modernes et les expériences auxquelles Keating invitait ses élèves, donnaient simplement envie d'entrer dans le livre avec les personnages.
Un vrai chef d'oeuvre de littérature et de poésie qui remet en question la vie et son sens, qui bouleverse autant qu'il fascine, et qui vous fera aimer l'excentricité plus que jamais. A lire, relire et re-relire !

J'ai essayé d'aller toujours plus loin, mais j'ai du le fermer et l'abandonner.
Je ne me suis jamais autant ennuyé avec un livre.

Le film mérite 5 étoiles, mon film préféré, celui que je regarderai en boucle.
Alors apprendre que le livre a été écrit après le film, ça m'a bien refroidi pour le lire..
Au final, évidemment, le livre reprend assez bien le film, l'émotion et la magie en moins.
Si je regarderai encore de nombreuses fois le film, je ne relirai probablement pas le livre.

Quand on a aimé le film, on ne peut qu'aimer le livre et vice versa. le tout est magistral

Chers ados, chers adultes, n'hésitez plus !
Vous venez de tomber sur une de ces perles rares littéraires qui nous marque pour tout une vie (et n'y voyez ici aucune exagération de ma part).
Ce livre, écrit dans un style fluide et agréable, est un véritable hymne à la liberté et une incitation à toujours suivre ses instincts. Quand Keating, ce professeur de lettres si particulier, arrive dans ce collège austère de garçons, il va leur apprendre la littérature. Mais pas la littérature ennuyeuse que l'on trouve dans les manuels, car faire partie du cercle, c'est avant tout une expérience humaine, poignante, aliénante ! Un plaisir proche de l'ivresse, décrit d'une plume de maître par Kleinbaum. A voir aussi, l'adaptation, qui (c'est bien rare !) est toute aussi sublime que le livre !

N.H. Kleinbaum vit aujourd'hui à New-York et travaille au sein du "Lifestyles" en tant que journaliste où elle réalise plusieurs interviews après avoir longtemps été spécialisée dans l'écriture de livres inspirés de films.Ce qui fut le cas en 1990 pour "Le cercle des poètes disparus", un film américain réalisé par Peter Weir sorti en 1989.L'ouvrage reprend le scénario du film, bien entendu, où tout commence à la rentrée 1959, aux Etats-Unis. Un garçon plutôt réservé, Todd Anderson suis les traces de son brillant frère aîné en intégrant les bancs de la très prestigieuse école de Welton. Etablissement austère et élitiste, se voulant destiner la majeure partie des élèves le fréquentant à de très belles carrières.Au milieu de cet environnement tiré à quatre épingles, le nouveau professeur de lettres : Monsieur Keating, défraie la chronique en faisant une entrée fracassante qui restera longtemps gravée dans les annales.
"Si vous avez une certitude, alors obligez-vous à considérer le problème sous un angle différent, même si cela paraît idiot ou absurde. Quand vous lisez, ne vous limitez pas à ce que dit l'auteur, mais tâchez d'analyser ce que vous ressentez."Le professeur, passionné et passionnant, leur enseignera, à travers des méthodes plutôt originales, ce que les prêcheurs du savoir oublient souvent d'enseigner. L'anticonformisme et la liberté de l'esprit. C'est là qu'il reprendra la très célèbre locution latine d'Horace : "Carpe diem". « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain ».
C'est alors que les élèves, épris par l'univers enchanteur de Mr Keating, découvrent l'existence du cercle des poètes disparus et décident de lui donner une seconde vie en reproduisant exactement le rituel auquel s'adonnait leur professeur en compagnie de ses camarades, des années auparavant.J'ai versé la petite larme de rigueur en refermant cet ouvrage très court, qui fait son petit effet tout au long de la lecture et encore plus au niveau des dernières lignes, où est résumée la scène culte finale de Mr Keating. Cependant, je dois avouer que l'adaptation cinématographique de Peter Weir n'a d'égale qu'elle-même, une valeur sûre, une mise en scène qui désarmera les plus insensibles.
Lien : http://larevuedecolette.blog..

Ayant vu le film bien avant d'avoir lu le roman, je vais essayer d'en faire abstraction le temps de cette chronique, car je dois avouer que cela a peut-être influencé ma lecture... On a pratiquement tous eu, au cours de notre scolarité, ce professeur qui change notre vision des choses et qui nous fait aimer une matière pour laquelle on éprouvait une certaine aversion. Dans le Cercle des Poètes Disparus, il s'agit de Mr Keating, qui prend un grand plaisir à transmettre son amour de la littérature et surtout de la poésie à ces élèves condamnés à suivre le modèle imposé par leurs parents et leur condition sociale. A travers ce professeur hors du commun, les étudiants de Welton vont apprendre à se libérer de l'étau académique et à profiter du jour présent en donnant une chance à leurs rêves. Contrairement à ce que l'on pourrait penser au premier abord, le roman se focalise davantage sur le changement qui s'opère chez notre petit groupe d'étudiants, faisant presque du professeur Keating un personnage de second-plan. Grâce au Cercle qu'ils reforment, les étudiants apprennent à utiliser la poésie et leurs apprentissages afin de servir leurs propres intérêts : certains s'en servent pour attirer les filles, d'autres pour braver l'autorité parentale et poursuivre leurs rêves, d'autres encore pour vaincre leur timidité et acquérir plus de confiance en soi. Les personnages ont chacun leur caractère et leur aspiration propre, ce qui les rend tous intéressants. Bien que le roman soit rempli des stéréotypes que l'on s'imagine trouver dans les lycées américains, il est avant tout une très belle leçon de vie qui m'a beaucoup inspirée, d'autant plus qu'il donne une place de choix à la littérature.
Cependant, c'est une des premières fois que je trouve un roman moins bon que son adaptation cinématographique. le livre ne compte que 178 pages et j'ai eu ni plus ni moins l'impression de lire le scénario du film. Il est composé majoritairement de dialogues et les scènes sautent de l'une à l'autre parfois sans transition. Je n'ai pas trouvé que le roman apportait grand chose de plus au film, qui fait partie de mes favoris. Peut-être est-ce dû à la superbe performance de Robin Williams en professeur Keating, ou à la version originale qui ajoute plus d'intensité et de vérité aux extraits poétiques et aux phrases cultes... Quoi qu'il en soit, je pense que j'aurai peut-être mieux apprécié le roman si je n'avais pas vu le film avant, puisque les images de celui-ci ne quittaient pas mon esprit durant toute ma lecture.


[Edit : Après quelques recherches, j'ai trouvé que le film n'était pas tiré du roman, mais plutôt l'inverse... Ce qui explique d'une part pourquoi la majorité des gens ne connaissaient pas l'existence du livre, et d'autre part pourquoi le roman ressemble autant à un scénario et n'apporte pas grand chose de plus au film ;) ]
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< Cueillez dès maintenant les roses de la vie.
Carpe diem. >

Qui ne connait pas au moins de nom cette oeuvre ? Beaucoup on dû voir le film qui est une merveille et aujourd'hui je viens vous présenter cette courte adaptation du film en roman.

Est-ce qu'il vaut la peine d'être lu ? Pourquoi pas si vous êtes plus touchés par la lecture que par le visionnage... Mais en réalité c'est exactement la même chose... Sans profiter des talents de comédien de Robin Williams dans le rôle du professeur Keating.

Rien ne change, mais j'apprécie ce support papier, retrouver chaque poème énoncé, chaque phrase qui s'accélère au fil du roman jusqu'à l'apogée finale... C'était touchant. Peut être pas autant que regarder le film, mais comme un roman dramatique qui est là pour nous conter la vie et ses arabesques.

< Nous sommes condamnés à ne connaître qu'un nombre restreint de printemps, d'étés et d'automnes >

Avez-vous vu le cercle des poètes disparus ?