Une rivière ne coule que dans une direction.
Il y a de la beauté dans le chaos pour celui qui sait où chercher.
Je regrette de ne pas vous avoir rencontré plus tôt. Pas quelqu’un comme vous, Vous.
Si cet endroit est un relais, une étape au cours d’un voyage, vous en êtes la meilleure partie.
Parfois, la meilleure façon d’aider quelqu’un , c’est le silence.
Vous n’êtes plus vivant, Wallace. Mais vous continuez d’exister.
Nous vivons et nous respirons. Nous mourons, et nous gardons l’envie de respirer. Ça ne concerne pas que les grandes morts. Quand nous avons du chagrin, nous mourons un peu.
La mort n’est pas toujours quelque chose dont il faut avoir peur. Ce n’est pas une fin en soi.
Nul besoin de fleurs. À quoi bon ? Elles étaient belles au départ. Ensuite, elles mouraient, leurs feuilles et leurs pétales se recroquevillaient et pourrissaient, un gâchis qu’on aurait pu éviter en s’abstenant de les envoyer.
Dans des circonstances différentes, ç’aurait pu marquer le début de quelque chose. Un commencement au lieu d’une fin. Mais pas pour eux. Ils étaient Wallace et Hugo, mort et vivant. Un gouffre immense les séparait.