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Critique de Masa
C'est l'un des cinq livres de Dean Koontz parut sous pseudonyme de Leigh Nichols. D'ailleurs c'est cette version que j'ai fait l'acquisition. Baptisé une première fois Twilight lors de sa sortie en 1984 et renommé Servant of twilight en 1988. Avant de me lancer dedans, voyons voir les livres que j'ai lu sous ce pseudo : « clé interdite » (aïe), « les yeux des ténèbres » (bof), « l'antre du tonnerre » (pas lu) et « feux d'ombres » (sympathique). Je remarque un point commun sur ces ouvrages, le personnages principal est une femme.
Alors qu'une jeune mère fait ses courses avec son fils, une vieille folle se jette sur eux et menace l'enfant. Depuis, leur vie est chamboulée par des événements. Cette femme âgée semble être la prêtresse d'une secte influente.
Pour ceux qui douterait que ce live n'a pas été écrit par Dean Koontz, il suffit d'ouvrir le livre et de tomber sur les ingrédients favoris de l'auteur : une romance entre trentenaire, un chien de race Golden retriever, la Californie, une traque. Plus je m'enfonçais dans son roman et plus j'avais l'impression de déjà-vu. Sensation augmentée avec une scène longue. Ça y'est ! J'ai trouvé ! Il y a exactement le même passage que dans « une porte sur l'hiver » (1985), avec d'autres personnages et en plus long (et ennuyeux). Avec ce sentiment de déjà lu, j'ai n'ai jamais pu rentrer dans l'histoire. Au bout de 400 pages, je vois enfin le bout du tunnel avec une fin très koontzienne et qui laisse une bonne impression, tentant d'anesthésier les chapitres précédents. Comme j'ai lu sa première version, il se peut que l'auteur ait modifié et réarrangé, comme il l'a fait avec « clé interdite ». Bien que promis au fantastique, ici il n'en n'est rien et ce livre devrait être classé en thriller. Dommage, quand on sait que c'est dans le domaine du fantastique que Dean Koontz ait écrit ses meilleurs livres.
Alors qu'une jeune mère fait ses courses avec son fils, une vieille folle se jette sur eux et menace l'enfant. Depuis, leur vie est chamboulée par des événements. Cette femme âgée semble être la prêtresse d'une secte influente.
Pour ceux qui douterait que ce live n'a pas été écrit par Dean Koontz, il suffit d'ouvrir le livre et de tomber sur les ingrédients favoris de l'auteur : une romance entre trentenaire, un chien de race Golden retriever, la Californie, une traque. Plus je m'enfonçais dans son roman et plus j'avais l'impression de déjà-vu. Sensation augmentée avec une scène longue. Ça y'est ! J'ai trouvé ! Il y a exactement le même passage que dans « une porte sur l'hiver » (1985), avec d'autres personnages et en plus long (et ennuyeux). Avec ce sentiment de déjà lu, j'ai n'ai jamais pu rentrer dans l'histoire. Au bout de 400 pages, je vois enfin le bout du tunnel avec une fin très koontzienne et qui laisse une bonne impression, tentant d'anesthésier les chapitres précédents. Comme j'ai lu sa première version, il se peut que l'auteur ait modifié et réarrangé, comme il l'a fait avec « clé interdite ». Bien que promis au fantastique, ici il n'en n'est rien et ce livre devrait être classé en thriller. Dommage, quand on sait que c'est dans le domaine du fantastique que Dean Koontz ait écrit ses meilleurs livres.
