>
Critique de Steamkeupon
Entre deux briques de 800-900 pages j'ai parfois besoin d'un petit roman facile à lire et qui se déguste rapidement, histoire de me reposer les neurones.
En compulsant ma PLL je dénichai ce roman de Dean Kontz que je ne savais même plus que j'avais. Et vu que j'apprécie Kontz, je m'attendais à passer un chouette moment… ce qui fut le cas mais ce ne fut pas facile !
Disons-le tout net, le 1er tiers du roman, toute la partie qui se déroule dans la maison de Tommy donc, est… comment dire, soporifique, insipide, ennuyeux, bref aussi intéressant qu'un code de Droit Civil !!! J'ai d'ailleurs faillis plus d'une fois lâcher le livre et piocher un autre roman.
Ensuite, dès qu'on quitte la maison, on pénètre dans… la quatrième dimension !!! Si si je vous assure.
Les situations, les dialogues, les personnages rencontrés à partir de là sont non pas absurdes (loin de là !) mais complètement décalés. Une ou deux fois je me suis fait la remarque « mais c'est un scénario pour The Twilight Zone ça ! ». J'avoue que je ne m'attendais absolument pas à ça, mais une fois la surprise (le choc) digérée (et surtout acceptée), j'ai pris plaisir à lire cette histoire.
Alors oui, évidemment si vous aimez le Koontz sérieux, celui de « la nuit des cafards » ou « les Etrangers », il y a des chances que vous n'aimiez absolument pas ce petit écrit iconoclaste. L'auteur l'explique lui-même dans la postface que ce roman est vraiment différent, quelque chose d'à part dans sa carrière.
Pour la surprise et le côté décalé, je lui donne un 7/10.
En compulsant ma PLL je dénichai ce roman de Dean Kontz que je ne savais même plus que j'avais. Et vu que j'apprécie Kontz, je m'attendais à passer un chouette moment… ce qui fut le cas mais ce ne fut pas facile !
Disons-le tout net, le 1er tiers du roman, toute la partie qui se déroule dans la maison de Tommy donc, est… comment dire, soporifique, insipide, ennuyeux, bref aussi intéressant qu'un code de Droit Civil !!! J'ai d'ailleurs faillis plus d'une fois lâcher le livre et piocher un autre roman.
Ensuite, dès qu'on quitte la maison, on pénètre dans… la quatrième dimension !!! Si si je vous assure.
Les situations, les dialogues, les personnages rencontrés à partir de là sont non pas absurdes (loin de là !) mais complètement décalés. Une ou deux fois je me suis fait la remarque « mais c'est un scénario pour The Twilight Zone ça ! ». J'avoue que je ne m'attendais absolument pas à ça, mais une fois la surprise (le choc) digérée (et surtout acceptée), j'ai pris plaisir à lire cette histoire.
Alors oui, évidemment si vous aimez le Koontz sérieux, celui de « la nuit des cafards » ou « les Etrangers », il y a des chances que vous n'aimiez absolument pas ce petit écrit iconoclaste. L'auteur l'explique lui-même dans la postface que ce roman est vraiment différent, quelque chose d'à part dans sa carrière.
Pour la surprise et le côté décalé, je lui donne un 7/10.
