Jon Krakauer, est-il vraiment journaliste ? Il écrit trop bien ! Dés le début , il m'est apparu que " La
tragédie à l'Everest " est construit comme "
Marie Antoinette" de
Stefan Zweig : la fin est annoncée au début du livre, et elle est répétée tout au long du récit, ces 2 tragédies sont une succession de maladresses, la montagne est aussi rude et incontrôlable que le peuple de Paris, Kraukauer, tout comme Zweig, essaye de donner des arguments psychologiques à ses personnages à partir de faits réels. J'ai souffert pour
Marie Antoinette et j'ai souffert pour les montagnards. le poids de faits réels crée une tension qui captive. le récit a changé ma vision des exploits himalayens.
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