J'ai toujours une très bonne impression de
Kundera, même si j'ai beaucoup de mal à me souvenir des scénarios des romans que j'ai pu lire, comme "'insoutenable légèreté de l'être", "
la fête de l'insignifiance" ou bien "
l'ignorance.
Cette espèce d'amnésie ne me facilite pas, par conséquent, la restitution de la substantifique moelle qu'il a pu y inscrire.
Ici, avec "l'identité", il me semble que la simplicité de l'histoire laisse plus facilement une trace et, du coup, clarifie le propos.
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